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N’avons-nous vu que la partie émergée de l’iceberg en ce qui concerne les effets néfastes des vaccins à ARNm ?

Carambolage au ralenti

Pour ceux d’entre nous qui connaissent bien la biologie et les nouvelles données relatives à toxicité des injections appelées « vaccins Covid », ce qui se joue devant nous ressemble à un carambolage au ralenti : nous le voyons se dérouler, causer d’immenses dégâts, nous n’avons aucune idée du moment où il s’arrêtera et nous nous sentons impuissants à y faire quoi que ce soit.

À l’heure actuelle, on ne sait pas combien de temps cette expérience effroyable se poursuivra et combien de dommages supplémentaires seront causés.

Cependant, il y a malheureusement des raisons de penser que ce qui suit pourrait bien être le cas :

  1. Il faudra beaucoup plus de temps pour que les préjudices causés soient reconnus par l’ « establishment » et les injections continueront donc d’être administrées pendant un certain temps encore – même si ce sera à des groupes de plus en plus petits au fur et à mesure que le temps passe, et avec plus ou moins d’enthousiasme selon les endroits.
  2. Même si les injections devaient cesser maintenant, on ne sait pas dans quelle mesure les dommages causés jusqu’à présent ont été révélés, ni dans quelle mesure ils pourraient se manifester au cours des années, voire des décennies à venir.

L’une des raisons de ce qui précède est essentiellement politique. Nous faisons ici référence à l’échec total de ceux sur lesquels nous comptions auparavant pour garantir l’innocuité des interventions pharmaceutiques. Les raisons en sont l’aveuglement volontaire de nos instances réglementaires, combiné à la mainmise désormais assez évidente sur ces institutions de deux parties intéressées différentes :

  1. Les hommes politiques qui sont apparemment prêts à tout, y compris à installer des régimes de censure coordonnés transnationaux, pour que leurs erreurs monumentales restent cachées ; et
  2. Les grandes sociétés pharmaceutiques, qui veulent à tout prix s’assurer que ce pactole se poursuive aussi longtemps que possible.

Mais il existe aussi des raisons biologiques inhérentes qui peuvent entraver et retarder la fin de cette catastrophe sans précédent.

Pour toute une série de raisons qui sont énumérées ci-dessous, de nombreuses incertitudes subsistent quant à l’action biologique de doses répétées de produits à base d’ARNm. Toutefois, ce que l’on sait suggère que bon nombre des lésions qu’ils causent sont la conséquence de processus inflammatoires et auto-immuns qui se produisent (potentiellement) dans tout le corps.

Pour récapituler le principal mode d’action, les nanoparticules lipidiques transportent l’ARNm dans certaines cellules du receveur. Ces cellules expriment la protéine Spike, qui est étrangère à l’organisme. Le système immunitaire de l’organisme crée des anticorps contre cette protéine et en même temps attaque et détruit les cellules qui l’expriment.

Contrairement aux affirmations initiales, selon lesquelles le produit serait décomposé dans le muscle deltoïde (épaule) et peu ou pas distribué dans l’ensemble du corps, il s’avère que le produit est largement distribué, potentiellement dans tous les systèmes organiques. Bien sûr, cela n’aurait pas dû être surprenant, puisque l’intérêt des lipides dans les nanoparticules lipidiques est de leur permettre de traverser les membranes et d’être distribués, afin de jouer leur rôle original de transporteurs de médicaments ciblés vers les cellules cancéreuses.

En outre :

  • La quantité de protéine spike produite est incontrôlée et incontrôlable, tout comme sa durée de production. Des niveaux élevés d’anticorps anti-spike ont été retrouvés plusieurs mois après l’injection, ce qui suggère que la création de la protéine se poursuit.
  • La protéine spike produite présente des différences intrinsèques par rapport à la version naturelle – par exemple le remplacement de l’uridine par la pseudouridine, pour que l’ARNm soit moins dégradable. D’autres changements (par exemple l’optimisation des codons) pourraient bien modifier les caractéristiques de pliage de la protéine produite, avec des conséquences inconnues.
  • Il est aussi possible que la protéine spike puisse se transloquer dans le noyau des cellules, ce qui présente des risques encore inconnus.
  • La création répétée de spike à partir d’injections multiples peut avoir des effets délétères, à la fois sur la capacité à combattre des virus similaires (ce que l’on appelle la « tolérance » créée par le changement du type d’anticorps créé) et sur l’épuisement immunitaire (réduisant la capacité du corps à combattre d’autres agents pathogènes ou des cancers)
  • Les nanoparticules lipidiques elles-mêmes (nonobstant leur « charge » c.à.d. ce qu’elles contiennent) pourraient bien être pro-inflammatoires en elles-mêmes..
  • On ne connaît pas encore les conséquences de la contamination, observée à des niveaux supérieurs à la maximale tolérée, avec des restes d’ADN provenant des plasmides bactériens utilisés dans le processus de fabrication à haut volume.

La plupart des lésions observées semblent être de nature inflammatoire ou auto-immune. Ces deux processus sont généralement des problèmes chroniques et non aigus. Il est tout à fait possible qu’une fois déclenchés, ils se poursuivent pendant des mois, voire des années. Il est à noter que c’est l’inflammation chronique qui jouerait un rôle central dans de nombreuses pathologies chroniques dont souffrent de plus en plus d’Occidentaux depuis quelques décennies.

Les préjudices visibles pourraient donc se manifester sur une longue période. En outre, comme les processus inflammatoires et auto-immuns chroniques, de par leur nature, se développent lentement au fil du temps, l’individu est susceptible de s’habituer aux effets néfastes, jusqu’à ce qu’un événement critique se produise après une période plus longue.

La maladie coronarienne en est un bon exemple. On estime que l’inflammation est un élément important de la pathophysiologie dans laquelle une « plaque » se forme dans la paroi artérielle. Cette plaque peut être asymptomatique jusqu’à ce qu’elle se rompe, provoquant un blocage total qui se traduit par une « crise cardiaque ». Si les injections accélèrent ce processus inflammatoire, l’évolution du processus pathologique peut sembler identique à ce qui a été observé précédemment chez de nombreuses personnes, bien qu’il ait été provoqué et accéléré au-delà de ce que la personne aurait autrement subi; cependant, parce que le préjudice se situe dans la gamme des maladies possibles ou même probables observées, c’est mis sur le dos du hasard ou de la fatalité.

Les fabricants de cigarettes avaient l’habitude de nier que leurs produits provoquaient des cancers du poumon en mettant en avant les non-fumeurs qui subissaient le même sort. En fait, ce n’est que par une analyse épidémiologique rigoureuse que le lien a pu être prouvé sans équivoque. Pour les injections de covid, il est très préoccupant que les pouvoirs publics semblent faire tout leur possible pour empêcher l’accès aux données qui permettraient d’effectuer de telles analyses.

Une autre raison pour laquelle les lésions vaccinales peuvent être difficiles à identifier est que, dans certains cas, les processus pathologiques peuvent simplement réduire la réserve physiologique, ce qui peut passer inaperçu pendant des années ou des décennies. La plupart des systèmes de l’organisme présentent une certaine « redondance intégrée », ce qui explique qu’un rein ou une partie importante du foie puissent être perdus tout en conservant un bon contrôle physiologique et biochimique. Mais si une personne perd un rein, elle est plus susceptible de souffrir d’insuffisance rénale à mesure qu’elle vieillit, que l’efficacité de ses reins diminue et que la réserve disponible s’amenuise. De même, si une partie du cœur est endommagée dans la jeunesse (par exemple à la suite d’une myocardite), la personne peut se rétablir complètement à court terme, c’est-à-dire être physiologiquement normale, mais elle est plus vulnérable à l’insuffisance cardiaque (lorsque le cœur ne peut pas pomper suffisamment le sang dans l’organisme) après avoir perdu un peu plus de tissu musculaire cardiaque à la suite, par exemple, d’un infarctus à l’âge mûr.

Enfin, il convient de noter qu’en raison de la large distribution dans l’ensemble du corps [du produit] (ce qui est assez évident étant donné le large éventail de déclarations d’effets indésirables, dans les diverses bases de données), les lésions semblent se manifester par une très grande variété de symptômes et de troubles. Ceux-ci seront difficiles à diagnostiquer et nécessiteront des investigations longues et complexes, plusieurs pathologies étant possibles. De tels profils de types d’effets indésirables n’ont généralement pas été observés auparavant avec des produits pharmaceutiques ; dans la plupart des cas, les effets indésirables sont plus limités dans leur portée et ont un lien temporel plus étroit au dosage (bien qu’il y ait quelques exceptions).

En conclusion

Il n’est pas possible de dire si nous sommes au début ou à la fin des problèmes causés par ces produits.

Un ensemble de raisons que l’on pourrait qualifier de « politiques », ainsi que les caractéristiques biologiques inhérentes aux « vaccins » à ARNm, empêchent que les injections soient identifiées et acceptées dans un avenir proche comme étant l’agent causal de préjudices significatifs et durables subis par un nombre inacceptable de personnes.

En outre, il est probable qu’elles continueront à être administrées pendant un certain temps encore – au moins à certains groupes dans certains endroits – prolongeant et exacerbant les préjudices déjà causés.

Publié à l’origine par HART

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