Liz Evans MA(Cantab), MBBS(Hons), DRCOG

Dr Liz Evans a exercé la médecine pendant quelques années (en tant que médecin généraliste), puis s’est désinscrite du Registre pour s’orienter vers la médecine complémentaire. Au cours des 12 dernières années, Dr Evans a exercé à temps partiel dans un cabinet privé où elle recevait des patients en utilisant une approche holistique de la nutrition et de la médecine énergétique.

Elle est cofondatrice et Directrice de l’Alliance britannique pour la liberté médicale (UK Medical Freedom Alliance), créée en octobre 2020. Il s’agit d’un groupe de professionnels de la santé, de scientifiques et d’avocats qui font campagne pour que les droits des personnes à la liberté médicale, au consentement éclairé et à l’autonomie corporelle (pouvoir et liberté de disposer de son corps) soient respectés en toutes circonstances. Membre éminente de HART depuis sa création. Membre du Children’s Covid Vaccine Advisory Council (Comité Consultatif sur la Vaccination des Enfants contre la Covid – CCVAC) dirigé par Dr Ros Jones. Le CCVAC a écrit de nombreuses lettres depuis mai 2021 (à la MHRA*, au JCVI** et maintenant au Premier Ministre britannique) pour exprimer de sérieuses inquiétudes concernant l’administration de vaccins Covid à des enfants en bonne santé.

*Agence de réglementation des médicaments pour le Royaume Uni

** Comité sur la vaccination et l’immunisation pour le Royaume Uni


Alexandra Henrion Caude

Professeur Alexandra Henrion Caude a été Directrice de Recherche à l’Institut National de la Santé et Recherche Médicale (INSERM) en France et fondatrice de Simplissima, un institut de recherche international privé. Reconnue internationalement avec 150 publications, ses recherches se concentrent depuis plus de 20 ans sur la façon dont les signaux environnementaux sont traduits en informations génétiques. Récemment, elle s’est intéressée à l’énorme contribution de l’ARN non-codant aux mécanismes de régulation et, en particulier, à l’identification des variations susceptibles d’influencer les maladies génétiques.

Le premier mentor du Dr Henrion-Caude a été Professeur Sir Alec Jeffreys, avec qui elle a appris les techniques d’empreintes génétiques. Elle a obtenu son Doctorat en génétique en 1999 à l’université de Paris VII, sous la direction du Professeur Axel Kahn. Elle a fait son post-doctorat à la Harvard Medical School, au Joslin Diabetes Center, et a été titularisée en 1998 à l’INSERM, où elle a été nommée Directeur de Recherche. Elle a fondé, avec Professeur Annick Clément, la première unité de recherche en pneumologie pédiatrique à l’Hôpital Trousseau à Paris. Elle a ensuite créé un groupe de recherche sur les maladies génétiques de l’enfant dans le laboratoire du Professeur Arnold Munnich à l’Hôpital Necker à Paris, et a été Directrice de GenAtlas, un site web scientifique public.

Elle a reçu le prix de Eisenhower Fellowship en 2013. Elle a participé à l’émission « The Science for you to solve » (La Science à résoudre par vous) avec quatre Prix Nobel à Séoul, en Corée du Sud, et a été invitée à présenter ses travaux sur l’ARN non-codant à des conférences comme Keystone Symposia et à la Royal Society. Elle a déposé trois brevets, dont le brevet américain sur les mitomiRs pour la régulation du génome mitochondrial, et a conclu un partenariat avec Miltenyi Biotec en recherche et développement sur la préparation des mitochondries.


Philipp Kruse

Philipp Kruse est un avocat suisse. Après une carrière en droit commercial et constitutionnel, il a consacré sa vie à mettre en question la voie dans laquelle la Suisse s’est engagée avec de nombreuses autres nations. Il a mené plusieurs affaires concernant des réglementations ayant un impact sur les enfants, des controverses constitutionnelles et il est à la tête de plusieurs initiatives pour le soutien des activistes.


John Stone

John Stone est un parent d’autiste, militant pour la sécurité des vaccins et rédacteur britannique et européen de AgeofAutism.com depuis 2010. John s’est concentré sur la déformation des faits et de la science entourant la crise de l’autisme et les vaccins. Il a largement contribué au débat sur la sécurité des vaccins et l’éthique de l’industrie en Grande-Bretagne et aux États-Unis pendant deux décennies.


Vera Sharav, auteur et fondatrice de l’Alliance pour la Protection de la Recherche Humaine

Cette défenseuse des droits de l’homme est la fondatrice et Présidente de l’Alliance for Human Research Protection (AHRP) , qui sert de source d’information et d’organisation de surveillance de l’intérêt public, dont l’objectif est de lever le voile sur le secret de la recherche biomédicale et de responsabiliser les acteurs de ce secteur. Les infomails de l’AHRP ont un large public : ils sont lus par des médecins et des scientifiques, des responsables de la santé publique, des journalistes, des avocats et des organisations de défense des patients.

Parmi ses réalisations, citons: la suspension de l’expérience sur les pesticides sur des enfants (CHEERS) menée par l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA); une plainte qui a donné lieu à deux enquêtes fédérales sur l’utilisation d’enfants placés en famille d’accueil comme cobayes dans des essais expérimentaux de médicaments et de vaccins contre le SIDA; la suspension du vaccin contre la variole pour des enfants; la suspension de l’expérience de « prédiction de la violence » qui a exposé des garçons de couleur de New York de 6 à 11 ans à la fenfluramine; l’ouverture d’un débat public sur l’éthique des expériences induisant des rechutes chez les patients schizophrènes. Elle s’est arrangée pour que les familles et les victimes de recherches non-déontologiques puissent se joindre à elle et témoignent devant le Comité Consultatif National de Bioéthique (NBAC), sur des expériences menées sur des patients psychiatriques handicapés mentaux; ces témoignages ont donné lieu à une série récompensée dans le Boston Globe, « Doing Harm : Research on the Mentally Ill » (« Faire du tort: Recherche sur des malades mentaux ») ce qui a finalement abouti à l’arrêt des 29 essais cliniques à l’Institut National de la Santé Mentale (1999).

Mme Sharav a fait partie du groupe de travail au Comité Consultatif National sur la Protection de la Recherche Humaine sur les enfants, où elle a été la seule dissidente à s’opposer à l’utilisation accrue d’enfants dans des expériences médicales à haut risque. Elle a témoigné devant des groupes consultatifs de politique publique, notamment à l’Institut de Médecine – contre les expériences des pesticides sur l’homme, contre la recherche sur les médicaments dans les prisons, et lors de nombreuses audiences de la FDA, contre l’utilisation abusive de médicaments psychotropes chez les enfants.

Elle a été invitée à présenter des exposés dans le cadre de divers forums professionnels et universitaires: à la Fédération Mondiale des Journalistes Scientifiques, Londres; au programme d’accompagnement de l’Académie Nationale de Politique Scientifique et à l’Association Nationale de la Santé Publique sur la sélection des malades mentaux; à l’Institut des Consommateurs en Medicine et Santé, Stockholm – sur les enfants américains sur-médicamentés; à l’Université de Colombia; l’Hôpital de New York, Cornell; le Forum sur l’Ethique Médicale de l’Armée américaine; et à l’Université de Texas.


Dr. Nicole Delépine

Docteur en médecine, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine est mariée au docteur Gérard Delépine et mère de deux enfants. Elle a dirigé l’Unité de Cancérologie de l’Adolescent et du Jeune Adulte à l’Hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) jusqu’à sa fermeture. Médecin hospitalier à temps plein, Nicole Delépine se bat depuis 20 ans pour améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux sur le sujet et a présenté en moyenne 15 communications par an ces dernières années, dont 2/3 dans des congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation de Dr. Nicole Delépine est internationale et considérable dans le domaine des tumeurs des os et des tissus mous.

Sur le plan professionnel, Dr Nicole Delépine s’est constamment battue pour la démocratisation de l’hôpital et pour que le patient soit au centre des préoccupations des médecins hospitaliers et de l’administration. Les positions dérangeantes de Nicole Delépine lui ont valu l’inimitié de certains de ses pairs qui ont récemment décidé de fermer son service qui était l’un des plus actifs de l’hôpital. Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents comme l’A.M.E.T.I.S.T., et aux interventions répétées des élus de la région parisienne et aux reportages de nombreux journalistes que la solution du transfert à l’Hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) a pu être arrachée à l’administration de l’AP-HP (Assistance Publique des Hôpitaux de Paris). Elle est également membre du Comité Consultatif de l’Alliance for Human Research Protection.


Dr Gérard Delépine

Oncologue, chirurgien orthopédique et statisticien à l’Hôpital Raymond Poincaré à Paris. Depuis les années 1980, Dr Gérard Delépine a développé des méthodes chirurgicales innovantes pour traiter des tumeurs osseuses et des tissus mous. L’équipe indépendante et créative de médecins de l’Unité d’Oncologie Pédiatrique (UOP) a acquis une réputation internationale en combinant une chimiothérapie individualisée avancée et une chirurgie conservatrice. Au fil des décennies, une association de parents militante et solidaire, des interventions de politiciens, de nombreux reportages de journalistes et le soutien de nombreux médecins français et étrangers ont permis à l’Unité d’Oncologie Pédiatrique de résister aux pratiques de traitement du cancer influencées par les produits pharmaceutiques et dictées par les protocoles. Il est membre du Comité Consultatif de l’Alliance for Human Research Protection.

Nicole et Gérard, mari et femme, luttent depuis 30 ans contre la bureaucratie sanitaire française au nom des patients atteints de cancer et au nom des médecins traitants qui ont été mis à l’écart par les protocoles du traitement du cancer de la bureaucratie gouvernementale influencés par les intérêts des sociétés pharmaceutiques. Les docteurs Delépine se battent pour améliorer les options de traitement et les soins des patients atteints de cancer, en tenant compte non seulement de la réponse de la tumeur, mais aussi de la réaction de l’organisme aux médicaments, et en prescrivant des ajustements de dose individualisés des chimiothérapies si nécessaire.

Les docteurs Delépine critiquent ouvertement la « tyrannie » médicale imposée par l’État en France, où les agences régionales de santé imposent des protocoles de traitement du cancer qui sont formulés pour renflouer les profits de l’industrie du traitement de cancer – des protocoles et des campagnes de dépistage dont la nocivité a été prouvée. Par exemple, ils citent l’étude canadienne de suivi de la mortalité due au cancer du sein sur 25 ans, publiée dans le BMJ (British Medical Journal). Cette étude démontre que le dépistage du cancer du sein n’a pas réduit les taux de mortalité, comme on le prétend généralement, mais qu’il a plutôt entraîné un surdiagnostic du cancer du sein, ce qui s’est traduit par des interventions chirurgicales inutiles.

Le domaine de recherche le plus récent sur le cancer pour les docteurs Delépine est le cancer du col de l’utérus, son dépistage et le soi-disant vaccin préventif.

Dans Hystérie Vaccinale (2018), ils expliquent que le cancer du col de l’utérus est rare et que dans les pays à revenu élevé où le frottis cervical est utilisé pour le dépistage systématique du cancer du col de l’utérus, on peut le prévenir à 80 %. Aux États-Unis, le taux de mortalité lié au cancer du col de l’utérus est inférieur à 1 % – 0,7 %. Il n’y a pas d’urgence en matière de cancer du col de l’utérus.

Dans Gardasil : Faith and Propaganda versus Hard Evidence (2019), les docteurs Delépine rapportent les résultats de leur analyse des preuves globales du cancer du col de l’utérus telles que documentées dans les registres gouvernementaux d’Australie, de Grande-Bretagne, de Norvège, de Suède et de France. Ils ont analysé les données avant et après la vaccination avec le vaccin contre le virus du papillome humain (HPV), Gardasil, fabriqué par GlaxoSmithKline. Le Gardasil a été largement et agressivement promu comme un vaccin préventif contre le cancer. Les docteurs Nicole et Gérard Delépine ont comparé le taux de cancer du col de l’utérus au cours de la période précédant la vaccination – de 1989 à 2007 – et le taux de cancer du col de l’utérus depuis la vaccination avec Gardasil. Ils ont fait part de leurs conclusions très inquiétantes, fondées sur des données probantes : pendant la période de dépistage par frottis cervical (1989-2007), l’incidence du cancer du col de l’utérus a diminué de 50 %. Depuis 2007, après l’autorisation de mise sur le marché du Gardasil, « un renversement de tendance » a été observé dans tous les pays où la couverture vaccinale est élevée (Australie, Grande-Bretagne, Norvège, Suède). Leur analyse des bases de données gouvernementales révèle une augmentation paradoxale de l’incidence des cancers apparaissant 3 à 5 ans après la campagne de vaccination. Cette augmentation touche presque exclusivement les groupes d’âge les plus vaccinés.