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La santé est réorientée vers la préparation aux pandémies, les dépenses considérables et le déploiement rapide de vaccins à ARNm pour les infections, mais peut-être aussi pour toutes les autres affections

Documents de la Commission Européenne et du gouvernement américain

L’Europe et les États-Unis ont déjà adhéré à l’agenda mondial de la biosécurité, alias la préparation à la pandémie.

L’Europe a publié son rapport sur l’agenda mondial de la santé en mars, et il ne s’agit pas de santé, mais de faire de la santé le moteur de l’agenda de l’OMS et des mondialistes. Ce n’est pas une surprise. Mais de le voir imprimé, avec plein de jolies images, tout bien expliqué : eh bien, j’ai été surpris. Je vous invite à y jeter un coup d’œil.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

Global Gateway : STRATÉGIE GLOBALE DE L’UE EN MATIÈRE DE SANTÉ: Une meilleure santé pour tous dans un monde en mutation

Alors que nous nous concentrons sur ce qu’il faut faire, un changement tout aussi fondamental doit s’opérer sur la manière de le faire. Un nouvel ordre mondial en matière de santé est en train d’émerger, et l’UE doit contribuer à le façonner par un engagement plus stratégique et plus efficace.

La gouvernance mondiale devra être recentrée sur le maintien d’un système multilatéral fort et réactif, avec en son centre une Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui soit aussi durablement financée qu’elle est responsable et efficace. Un consensus devrait être établi grâce à une coopération approfondie au sein du G7, du G20 et d’autres partenaires mondiaux, régionaux et bilatéraux. L’UE devrait piloter le processus essentiel consistant à combler les lacunes existantes dans la gouvernance mondiale, en évitant les duplications et en garantissant la cohérence de l’action. Pour ce faire, elle devra coopérer étroitement avec le secteur privé, les organisations philanthropiques, la société civile et d’autres parties prenantes afin de soutenir les objectifs de cette stratégie.

https://health.ec.europa.eu/system/files/2023- 03/international_ghs-report-2022_en.pdf

Texte traduit de l’image ci-dessus :

Les vaccins doivent être développés et utilisés sur les enfants et les adultes, en particulier en afrique

Soutenir l’utilisation accrue des vaccins contre les maladies infantiles et, de plus en plus, pour soutenir la santé des adultes, tout en continuant à soutenir fermement Gavi, l’Alliance du Vaccin qui aide à accroître l’utilisation équitable et durable des vaccins.

Veiller à ce que des vaccins, des traitements et des diagnostics innovants pour les maladies infectieuses nouvelles, répandues ou négligées et pour les maladies non transmissibles soient développés et utilisés, notamment grâce au financement d’Horizon Europe et au Partenariat pour les essais cliniques entre Europe et les pays en développement, dans le cadre de UE-Afrique Santé Globale (EDCTP3); ceci pour la recherche, le développement des capacités et le renforcement de l’environnement réglementaire en Afrique subsaharienne.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

PRINCIPE DIRECTEUR 7 : Renforcer les capacités de prévention, de préparation, de réaction et de détection précoce des menaces pour la santé à l’échelle mondiale.

Le COVID-19 a montré l’importance de la préparation solide et de la capacité rapide de réaction ainsi qu’un financement adéquat pour sauver des vies. La pandémie a également démontré que dépenser des milliards aurait permis d’économiser des billions.

Le COVID-19 a montré l’importance de la préparation solide et de la capacité de réaction ainsi qu’un financement adéquat pour sauver des vies.

Dépenser des milliards aurait permis d’économiser des billions.

Il sera essentiel de fournir à l’OMS un financement durable et de trouver des moyens innovateurs de combler les lacunes, comme le Fonds de lutte contre les pandémies, dont la Commission et certains États membres de l’UE sont les principaux contributeurs.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

L’OMS est la pierre angulaire indispensable du système de santé multilatéral

Les lignes d’action suivantes seront privilégiées :

  • Chercher à obtenir le statut officiel d’observateur de l’UE avec le plein droit de participation, comme première étape vers l’adhésion à part entière à l’OMS.
  • Contribuer à rendre le financement de l’OMS plus durable, conformément aux décisions de la 75e Assemblée Mondiale de la Santé, d’ici à 2030-2031.
  • Faire progresser la réforme de l’OMS afin de renforcer sa gouvernance, son efficacité, sa responsabilité et l’application de ses règles, conformément à sa nature d’organisation pilotée par ses membres.
  • Renforcer l’accent mis par l’OMS sur son rôle normatif dans des domaines d’importance mondiale, en commençant par le renforcement du Règlement Sanitaire International et un futur accord sur les pandémies d’ici à 2024, et explorer d’autres domaines tels que la gouvernance des données sanitaires et la main-d’œuvre.
  • Renforcer la coopération avec l’OMS, au niveau central et régional européen, en utilisant les mécanismes cartographiques sus-mentionnés, afin de garantir un meilleur alignement des priorités de l’UE et de l’OMS. Ces objectifs communs guideront l’importance de la contribution volontaire de l’UE à l’OMS. En 2020 et 2021, les contributions volontaires de la Commission étaient globalement classées quatrièmes des plus importantes; l’UE et ses états membres contribuaient pour plus de 20 % du budget de l’OMS, ce qui en faisait le premier contributeur.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

Pourquoi cette mesure est-elle imposée à l’Europe en premier lieu ?

– L’existence de l’Union Européenne prévaut déjà sur la souveraineté nationale

– Les soins de santé sont réglementés par les États conformément à la Constitution, et non par le gouvernement fédéral comme aux États-Unis

– La plupart des pays d’Europe occidentale n’autorisent pas leurs citoyens à posséder des armes à feu

– Pendant la pandémie, les Européens de l’Ouest ont fait davantage confiance à leur gouvernement que les Américains

-Les États-Unis affichent des taux de vaccination contre le virus COVID inférieurs à ceux de l’ensemble de l’Europe occidentale

Texte traduit de l’image ci-dessus :

Pourquoi l’agenda mondial de Biosécurité est-il si important pour les élites internationales ?

Les amendements proposés au RSI (Règlement Sanitaire International) et le Traité sur les pandémies leur donnent les éléments suivants :

1. Une raison pour les nations d’emprunter des milliards de dollars, de les dépenser pour des produits qui leur rapportent et de toucher d’énormes commissions.

2. La justification de la biosurveillance, de la collecte et du décodage des génomes de la population mondiale en vue d’un profit et d’un contrôle potentiels.

3. Une raison d’exiger des passeports/pièces d’identité vaccinaux numériques qui seront suivis par la monnaie numérique, ce qui permettra de réaliser des profits extraordinaires et un contrôle total.

4. Une raison d’interférer avec les activités agricoles, la pêche et la transformation des aliments, tout en prétendant favoriser la sécurité alimentaire et la durabilité ; similaire à l’interférence gouvernementale avec le secteur de l’énergie.

5. La capacité de déplacer des populations afin de « protéger » la biodiversité et les écosystèmes et de restreindre l’agriculture, l’exploitation minière, la production industrielle ou ?

6. Le droit d’imposer une surveillance numérique massive, la censure et la mise en œuvre d’un discours unique de l’OMS sur la santé publique dans le monde entier, ce qui permettrait un contrôle ultime de l’information.

C’est alors que je suis tombé sur ce document américain de 2021, signé par Eric Lander (alors assistant du Président pour la Science et la Technologie) et Jake Sullivan, toujours conseiller à la Sécurité Nationale.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

Préparation américaine à la pandémie :

Transformer nos capacités

Septembre 2021

Ils assimilent la vaste initiative du gouvernement américain en matière de préparation à la pandémie au programme Apollo (mission vers la lune). Est-ce une erreur ? La mission Apollo n’a-t-elle pas englouti des tonnes d’argent pour finir dans un studio filmé par Stanley Kubrick, afin de tromper les Américains crédules ?

Lander et Sullivan (ou quiconque a rédigé ce rapport) nous ont-ils laissé entendre que la « préparation biologique » qu’ils envisagent allait engloutir beaucoup d’argent mais n’aboutirait à rien ?

Je ne sais pas si nous sommes allés sur la lune ou non. Mais en regardant les astronautes lors de leur conférence de presse à leur retour sur terre, j’étais convaincu qu’ils avaient honte de leur performance, plutôt que d’être triomphants. Regardez.

Le financement requis dans ce rapport pour la préparation à la pandémie s’élève à un peu plus de 65 milliards de dollars. À dépenser sur une période de 7 à 10 ans. Mais comme je vous l’ai montré il y a deux jours, le Président au Congrès a demandé un budget de 20 milliards de dollars pour la prochaine année fiscale pour la préparation à la pandémie. Le prix a augmenté.

Les vaccins constituent de loin le poste le plus important : 24,2 milliards de dollars.

Voici une citation :

Le développement de la technologie des vaccins à ARNm et d’autres « plateformes programmables » – grâce à plus d’une décennie d’investissements prévoyants des secteurs public et privé – a changé la donne. Les vaccins à ARNm ont réduit le temps nécessaire pour concevoir et tester des vaccins à un record de 314 jours – bien moins que les vaccins précédents, qui nécessitaient plusieurs années. Ils se sont également révélés étonnamment efficaces contre le COVID-19.

Une autre citation du rapport pour justifier le fait de « dépenser des milliards pour économiser des billions« , qui reprend mot pour mot le rapport de l’UE cité plus haut et certains documents américains :

Outre la protection des vies américaines, l’investissement annuel est fortement justifié d’un point de vue économique : si des pandémies majeures similaires au COVID-19, qui coûtent environ 16 000 milliards de dollars aux États-Unis, se produisent tous les 20 ans, l’impact économique annualisé sur les États-Unis s’élèverait à 800 milliards de dollars par an. Même pour des pandémies un peu moins graves, le coût annualisé dépasserait probablement 500 milliards de dollars.

Ensuite, il y a ceci, un calendrier vaccinal identique au plan CEPI (Gates-Farrar étant les principaux initiateurs du CEPI – Coalition for Epidemic Preparedness Innovations ou Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies) pour fournir des vaccins à la population si rapidement qu’il n’y a pas de temps pour les tester sur les humains. En 130 jours, ils prévoient d’avoir suffisamment de vaccins pour tous les Américains. Génial, n’est-ce pas ? Non, c’est effrayant.

Texte traduit de l’image ci-dessus :

  1. Vaccins :

Objectif : être en mesure de produire rapidement des vaccins efficaces contre n’importe quelle famille de virus.

(1.1) Conception, essai et autorisation des vaccins. Permettre la conception, l’essai et l’examen d’un vaccin sûr et efficace contre n’importe quel virus humain dans les 100 jours suivant la reconnaissance d’une menace potentielle de pandémie émergente.

(1.2) Production de vaccins. Permettre la production d’une quantité suffisante de vaccins pour l’ensemble de la population des États-Unis dans les 130 jours et pour la population mondiale dans les 200 jours suivant la reconnaissance d’une menace potentielle de pandémie émergente.

1.3) Distribution des vaccins. Permettre une livraison rapide et facile des vaccins partout dans le monde, en éliminant les contraintes de transport et de stockage, et permettre une fabrication décentralisée.

(1.4) Administration des vaccins. Permettre des campagnes de vaccination rapides et à grande échelle en simplifiant l’administration des vaccins – par exemple, en remplaçant les injections stériles par des patchs cutanés et des pulvérisations nasales, et les doses multiples par des formulations à libération prolongée.

(1.5) Adaptation des vaccins. Mettre au point des moyens d’adapter, de tester et de réviser rapidement les vaccins modifiés pour suivre l’évolution du virus.

Vous savez maintenant ce qu’ils prévoient. Nous n’en sommes qu’à la deuxième étape d’une très grande bataille pour notre intégrité corporelle et bien d’autres droits et libertés, sans parler de nos biens. Une personne avertie en vaut deux !

Publié à l’origine sur Meryl’s COVIDNewsletter

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