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Tour d’horizon de la réunion annuelle du WEF : Les cartes d’identité numériques pour repérer les personnes non vaccinées, l’IA pour accélérer le développement de nouveaux vaccins

La réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM ou WEF) s’est achevée cette semaine sur des appels en faveur de l’identification numérique, du développement rapide de nouveaux vaccins, de la multiplication des partenariats avec des médias d’entreprise tels que le New York Times, ainsi que de l’acceptation et de la prolifération de l’intelligence artificielle dans tous les domaines de la société, y compris les soins de santé et l’éducation.

La menace d’une nouvelle pandémie et de ce que l’on appelle la « désinformation ». L’avenir de la démocratie. L’impact futur de l’intelligence artificielle (IA) dans la société. Le « programme vert ».

Ce n’était là que quelques-uns des sujets à l’ordre du jour de la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, qui s’est achevée aujourd’hui.

Parmi les points forts de la réunion de cette année, citons les mises en garde contre une « maladie X » encore inconnue mais qui pourrait être à l’origine de la prochaine pandémie, les discussions sur la manière dont l’IA pourrait conduire à la mise au point rapide de nouveaux vaccins et les débats sur la manière dont l’IA pourrait être victime de ce que l’on appelle la « désinformation » et la « mésinformation » ou au contraire pourra les filtrer.

« Nous ne voulons pas attendre un an avant d’obtenir le vaccin »

Les mises en garde ont été accompagnées de perspectives plus optimistes – du point de vue des participants à la réunion – quant au rôle que l’IA pourrait jouer dans la lutte contre les futures pandémies, notamment par la mise au point rapide de nouveaux vaccins.

Jeremy Hunt, chancelier de l’Échiquier du Royaume-Uni, a déclaré lors d’une table ronde organisée le jeudi, à laquelle participait Albert Bourla, PDG de Pfizer, que « lorsque nous aurons la prochaine pandémie, nous ne voulons pas avoir à attendre un an avant d’obtenir le vaccin. »

« Si l’IA peut réduire à un mois le temps nécessaire pour obtenir ce vaccin, c’est un grand pas en avant pour l’humanité », a déclaré M. Hunt.

L’identification numérique est « très nécessaire » pour identifier et localiser les personnes non vaccinées

Au cours d’une autre table ronde, la reine Máxima des Pays-Bas a déclaré que l’identification numérique était « très nécessaire » pour mettre en place une série de services publics, et a suggéré qu’elle pourrait être utilisée pour repérer les personnes non vaccinées.

L’identification numérique « est très nécessaire pour les services financiers, mais pas seulement. Elle est également utile pour l’inscription à l’école et pour la santé – pour savoir qui a été vacciné ou non », a-t-elle déclaré.

M. Bourla s’est étendu sur les possibilités qu’il entrevoit pour l’IA dans le domaine des soins de santé.

Répondant à une question du journaliste de CNN Fareed Zakaria, il a déclaré : « Notre travail consiste à réaliser des percées qui changent la vie des patients. Avec l’IA, je peux le faire plus vite et mieux. »

Un exemple cité par M. Bourla est le rôle qu’a joué l’IA dans le développement de Paxlovid, un médicament oral délivré sur ordonnance et commercialisé comme traitement du COVID-19.

« Il a été mis au point en quatre mois », a déclaré M. Bourla, alors que le développement d’un tel médicament « prend habituellement quatre ans. » Selon lui, l’IA a permis de réduire considérablement le temps nécessaire au processus de « découverte de médicaments », qui consiste à « synthétiser des millions de molécules et à essayer de découvrir, parmi elles, celle qui fonctionne. »

Il a attribué à cette avancée le mérite d’avoir sauvé « des millions de vies. »

« Je crois vraiment que nous sommes sur le point d’entrer dans une renaissance scientifique dans le domaine des sciences de la vie en raison de la coexistence des progrès de la technologie et de la biologie », a déclaré M. Bourla. « L’IA est un outil très puissant. Entre les mains de personnes mal intentionnées [elle] pourra entrainer de mauvaises choses pour le monde, mais entre les mains des bonnes personnes, [elle] peut conduire à de grandes choses pour le monde. »

Tweet ci-dessus d’Efrain Flores Mosanto

Albert Bourla, PDG de Pfizer, s’exprime sur les réglementations en matière d’IA biotechnologique et sur son utilisation pour la prochaine pandémie : « Entre les mains de personnes mal intentionnées, elle peut avoir de mauvaises conséquences, mais entre les mains de personnes bien intentionnées, elle peut faire de grandes choses pour le monde… les avantages l’emportent clairement sur les risques ».

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a averti mercredi, lors de la table ronde intitulée « Se préparer à la maladie X », que le monde devait être prêt à affronter une future pandémie, qui pourrait être causée par une « maladie X » encore inconnue.

Les panélistes ont averti que la « maladie X » – qui figure sur la liste des « maladies prioritaires » de l’OMS – pourrait « entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus. »

Tweet ci-dessus d’Ian Miles Cheong

Tedros: Covid (était) la première maladie X

Outre la « maladie X », M. Tedros et les autres participants à la table ronde ont également évoqué la nécessité d’un « accord sur les pandémies » et l’urgence de le faire approuver lors de l’Assemblée mondiale de la santé, qui se tiendra cette année entre le 27 mai et le 1er juin à Genève.

« Nous aurons des médecins et des personnes numériques »

Au cours de la table ronde intitulée « La technologie dans un monde turbulent », les panélistes ont fait d’autres prédictions sur les façons dont l’IA pourrait s’intégrer dans la vie des gens.

Marc Benioff, président-directeur général de Salesforce, a déclaré qu’ « avec l’IA on n’en est pas encore au point de remplacer les êtres humains, mais nous en sommes plutôt au point de les augmenter. »

Il a cité, à titre d’exemples hypothétiques, la possibilité pour les participants au WEF de demander à une application d’IA telle que ChatGPT « quelles sont les bonnes questions à poser » au panel, ou pour des radiologues d’utiliser l’IA « pour les aider à lire mon scanner dans mon IRM. »

« Nous sommes sur le point de réaliser cette percée qui nous fera dire : « Wow, c’est presque comme si c’était une personne numérique » », a déclaré M. Benioff. Toutefois, reflétant le thème de la réunion du WEF de cette année – « Reconstruire la confiance » – il a ajouté : « Lorsque nous arriverons à ce stade, nous nous demanderons: « Est-ce qu’on peut lui faire confiance. » »

« Nous allons avoir des médecins numériques, des personnes numériques, ces personnes numériques vont fusionner et il va falloir qu’il y ait un certain niveau de confiance », a déclaré M. Benioff.

De même, Sam Altman, PDG d’OpenAI – qui entretient un partenariat avec Microsoft – a déclaré que l’IA aiderait « le travail de chacun (…) à fonctionner à un niveau d’abstraction un peu plus élevé. »

« Nous aurons tous accès à beaucoup plus de capacités et nous continuerons à prendre des décisions. Elles tendront peut-être davantage vers la sélection au fil du temps, mais nous prendrons des décisions sur ce qui doit se passer dans le monde », a-t-il déclaré.

Julie Sweet, présidente-directrice générale d’Accenture, s’est également montrée optimiste quant au rôle futur de l’IA, affirmant que celle-ci « va massivement améliorer les services sociaux. »

Pour instaurer la « confiance », M. Benioff a appelé à davantage de réglementation, faisant allusion à l’écosystème des médias sociaux et à la « désinformation » sur ces plateformes.

Nous devons également nous tourner vers les régulateurs et leur dire : « Si vous regardez les médias sociaux au cours de la dernière décennie, vous constaterez que c’est un « bordel pas possible ». C’est horrible. Nous ne voulons pas de cela dans notre secteur de l’IA. Nous voulons un partenariat sain avec ces modérateurs et ces régulateurs. »

Selon M. Altman, l’un des moyens de développer de tels « partenariats » est de former l’IA à localiser et à identifier les informations provenant de certaines sources privilégiées.

Il a déclaré :

« Ce que nous voulons faire avec les propriétaires de contenu, comme le New York Times et les accords que nous avons conclus avec de nombreux autres éditeurs, et nous en ferons davantage au fil du temps, c’est que lorsqu’un utilisateur dit : « Hé, ChatGPT, que s’est-il passé à Davos aujourd’hui ? », nous aimerions afficher du contenu, des liens, vers des « marques » comme le New York Times ou le Wall Street Journal ou toute autre grande publication et dire : « Voici ce qui s’est passé aujourd’hui. Voici cette information en temps réel. »

M. Bourla a également appelé à une plus grande réglementation de l’IA, affirmant que même s’il était « certain que les avantages l’emportaient clairement sur les risques », il était d’avis que « nous avions besoin d’une réglementation dès maintenant. »

Quant à M. Hunt, selon lui, une réglementation minimale constituait la meilleure approche à l’heure actuelle:

« Je pense que nous devons faire preuve de légèreté parce que nous sommes dans une phase d’émergence. On risque de tuer la poule aux œufs d’or avant qu’elle n’ait une chance de grossir », a-t-il déclaré.

L’IA pourrait être utilisée pour apprendre aux étudiants à repérer la désinformation

Les dirigeants du WEF ont également abordé le rôle futur de l’IA dans l’éducation, en particulier lors de la table ronde « Education et IA » qui s’est tenue jeudi.

Selon Forbes, les panélistes, dont des représentants des gouvernements de Slovénie et des Émirats arabes unis, ont suggéré que l’IA offrirait « de nouvelles possibilités d’apprentissage et de tutorat profondément personnalisés. »

Ahmad bin Abdullah Humaid Belhoul Al Falasi, ministre de l’éducation des Émirats arabes unis, a parlé de « tutorat démocratique », suggérant que l’IA offrirait la possibilité d’un tutorat « évolutif » « accessible à tous » en dehors de la salle de classe, qui compléterait l’enseignement en classe et qui « laisserait la partie la plus difficile – les compétences relationnelles – aux enseignants. »

Nzinga Qunta, présentateur à la South African Broadcasting Corporation, a suggéré que ce tutorat ne serait pas limité en termes d’âge ou d’espace physique.

Les panélistes ont également assuré que l’IA ne conduirait pas à la perte d’emplois humains. Ils ont toutefois ont laissé entendre que les gens ne perdraient pas leur emploi à cause de l’IA « mais seraient remplacés par ceux qui sauront s’en servir », selon Forbes.

Le « risque de désinformation » a également été mis en évidence au cours de la discussion, les panélistes suggérant que la « pensée critique » peut permettre aux étudiants d’identifier les « dangers » de la « désinformation » et de la « mésinformation. »

la « désinformation » peut conduire à une « instabilité civile »

La « désinformation » a en effet occupé une place prépondérante dans l’ordre du jour de la réunion du WEF de cette année. Le rapport du WEF sur les risques mondiaux, publié le 10 janvier, a désigné la « désinformation » et la « mésinformation » dérivées de l’IA comme le principal risque auquel le monde sera confronté au cours des deux prochaines années, et le cinquième risque le plus important au cours de la prochaine décennie.

Selon le rapport, « les acteurs étrangers et nationaux tireront parti de la désinformation pour creuser les fossés sociétaux et politiques » au cours des deux prochaines années, ce qui risque de compromettre les élections dans des pays tels que les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Inde, et de provoquer des troubles sociaux dans le monde entier.

« De plus, les fausses informations et la polarisation de la société sont intrinsèquement liées et peuvent s’amplifier mutuellement », selon Saadia Zahidi, directrice générale du WEF, et contre cela, « l’innovation et la prise de décisions fiables » sont nécessaires. Toutefois, elle a ajouté que cela « n’est possible que dans un monde où l’on s’aligne sur les faits. »

Tweet ci-dessus de J Kerner

Saadia Zahidi, directrice générale du Forum économique mondial, affirme que la désinformation est le premier risque dans le monde d’aujourd’hui.
Je suis tout à fait d’accord. Pourtant, qui diffuse le plus de désinformation, de mensonges et de propagande, de « gaslighting », tout en se livrant à une censure massive et à la suppression de la vérité ?
LE WEF
La Fondation Rockefeller
Les gouvernements des États-Unis, du Canada, de l’Union européenne,
d’Australie et de Nouvelle-Zélande – y compris tous leurs agences et ministères gouvernementaux
Big Pharma
L’OMS
L’ONU
Les grands médias d’information
Des entreprises mondiales telles que BlackRock, Vanguard, JP Morgan-Chase et State Street
Gates
Soros
Elle affirme également que le climat est la menace la plus dangereuse pour les dix prochaines années. « La crise climatique » est une autre fraude fabriquée par le WEF et les oligarques mondiaux. Cet agenda – que l’on peut lire dans l’Agenda 2030 de l’ONU et l’initiative One Health de l’OMS – est une escroquerie mondiale qui n’a qu’un seul but : donner aux oligarques mondiaux encore plus de contrôle sur les richesses, les ressources et les populations de la Terre qu’ils n’en ont déjà.

Il y a un risque que les mauvais dirigeants soient élus

Les mises en garde du WEF contre la « menace » de la « désinformation » sont étroitement liées aux craintes exprimées par les participants à la réunion du WEF concernant l’impact que l’IA pourrait avoir sur la démocratie et le processus électoral.

Ces derniers jours, une vidéo est devenue virale sur les médias sociaux, montrant Klaus Schwab, cofondateur et président du WEF, en discussion avec Sergey Brin, cofondateur et ancien président de Google. M. Schwab a suggéré un scénario hypothétique dans lequel « il n’est même plus nécessaire d’organiser des élections » parce que l’IA « peut déjà prédire le vainqueur » – un scénario que M. Brin n’a pas explicitement rejeté.

Tweet ci-dessus de Trending News

Klaus Schwab à Sergey Brin : Qui a besoin d’élections ? Laissons l’IA s’en charger
« Avec le pouvoir analytique de l’IA, et maintenant nous passons à un pouvoir prédictif… Il n’est même plus nécessaire d’avoir des élections… parce que nous saurons déjà quel sera le résultat ».

Même si cette vidéo a été fréquemment présentée dans les médias sociaux comme provenant de la réunion du WEF de cette année, elle provient en fait d’une discussion qui a eu lieu lors de la réunion annuelle du WEF en 2017. Cependant, d’autres déclarations faites lors de la réunion de cette année ont également fait référence aux élections et à la gouvernance.

Tweet ci-dessus d’Andreas Wailzer

BREAKING – Le modérateur du WEF déclare que les élections de 2024 sont risquées car « il y a un risque que les mauvais dirigeants soient élus. »
Le président de S&P Global a déclaré : « Nous devons également nous assurer de rester engagés à travers les institutions mondiales, comme l’ONU, comme l’OTAN. »
(Ils ont très peur de Trump)

Et lors de son discours spécial à la réunion du WEF, António Guterres, le secrétaire général des Nations unies, a appelé à des « mécanismes efficaces de gouvernance mondiale » dans le cadre d’un « nouvel ordre mondial multipolaire. »

La construction d’un « ordre économique international » est nécessaire pour faire face à la « crise climatique »

De nombreux participants à la réunion du WEF ont également mis en garde contre les risques posés par le changement climatique et ont profité de l’occasion pour demander plus d’argent et d’investissements pour les initiatives « vertes ».

S’exprimant en début de semaine à la réunion du WEF, John Kerry, envoyé spécial du président américain pour le climat, a déclaré que 2023 « était littéralement l’année la plus perturbatrice, la plus perturbée sur le plan climatique, la plus lourde de répercussions sur le plan climatique, la plus négative de l’histoire de l’humanité », et qu’en conséquence, il n’y avait plus « de temps [à perdre] en débat ni, franchement, à procrastiner. »

Pour répondre à cette situation, les participants à la réunion du WEF ont déclaré qu’il fallait plus d’argent. Par exemple, Tharman Shanmugaratnam, président de Singapour, a déclaré que « les gouvernements vont devoir investir beaucoup plus qu’ils ne l’ont fait jusqu’à présent. »

Et selon Chrystia Freeland, vice-premier ministre du Canada, l’intervention du gouvernement est nécessaire dans le cadre de la transition vers l’élimination du carbone – un processus qui, selon elle, créera « plus d’emplois, plus de croissance, plus de production. »

Selon Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, le coût de ces interventions ne s’élève à « pas moins de 620 milliards par an pour faire avancer la transition verte. »

Confrontée jeudi dans les rues de Davos au journaliste de True North Media, Andrew Lawton, Christine Lagarde a esquivé les questions sur le risque que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC), telles que l’euro numérique qu’elle a elle-même introduit, soient utilisées pour contrôler les gens.

Tweet ci-dessus d’Andrew Lawton

J’ai demandé à Christine Lagarde, directrice de la Banque centrale européenne, comment les gens pouvaient être sûrs que les gouvernements n’utiliseraient pas les monnaies numériques comme outil de contrôle.
Elle m’a répondu : « Je ne parle pas parce que je suis dans une période de silence »

Mme Lagarde a répondu : « Je ne parle pas parce que je suis dans une période de silence ».

Lors d’une autre confrontation dans les rues de Davos, les journalistes de Rebel News ont ciblé Philipp Hildebrand, vice-président de BlackRock, l’une des plus grandes sociétés d’investissement au monde, en lui posant une série de questions sur le soutien de BlackRock à l’ « ESG » (environnement, social et gouvernance).

Tweet ci-dessus de Lincoln Jay

Nous avons repéré le vice-président de Blackrock dans les rues de Davos lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial.
Tant de questions, aucune réponse.
Plus d’informations sur http://WEFreports.com

M. Hildebrand n’a répondu à aucune des questions des journalistes.

Tweet ci-dessus de Dr Simon Goddek

Pendant des années, on s’est moqué de nous et on nous a traités de complotistes parce que nous alertions les gens sur le fait que l’élite mondiale autoproclamée planifiait un « nouvel ordre mondial ».
Au sommet du WEF à Davos cette année, @borgebrende le président du Forum économique mondial, discute ouvertement avec le conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, Jake Sullivan, dans un anglais approximatif, de la façon de façonner le « nouvel ordre mondial » à venir de manière à résoudre la « crise climatique ».
Ils ne le cachent plus et ceux qui nous accusaient d’être fous restent silencieux et continuent de soutenir la situation actuelle.

Et Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a tiré et noué plusieurs fils ensemble, suggérant mardi lors d’un discours spécial que « l’ordre économique international » pourrait être construit ou mis à jour « d’une manière qui … aborde la crise climatique. »

Plus de 60 chefs d’État et 1 600 chefs d’entreprise figuraient parmi les 2 800 participants de cette année, venus de 120 pays.

Publié à l’origine par The Defender


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