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Le débat sur la surmortalité et la sécurité des vaccins s’enflamme au Parlement britannique

Source : Sonia Elijah enquête, Substack, 19 avril 2024

Editeur de CHD Europe : Le public dans la galerie se met à applaudir dès la fin de la dernière phrase du discours d’Andrew Bridgen au Parlement le 18 avril 2024.

Le 18 avril, à la Chambre des communes du Royaume-Uni, Andrew Bridgen, député (indépendant) du North West Leicestershire, a prononcé un discours sans concession et percutant sur le débat qu’il avait demandé : « La réponse à la pandémie de Covid 19 et les tendances en matière de surmortalité. »

En octobre dernier, mon article Un député perce le silence sur la mortalité portait sur le discours de Bridgen, lors d’un débat ajourné de 30 minutes à la chambre des communes, qu’il avait obtenu sur la surmortalité.

Or, ce dernier débat a duré plus de deux heures, au cours duquel d’autres députés, dont Sir Christopher Chope, Danny Kruger et Neale Hanvey, ont également fait part de leurs préoccupations concernant la surmortalité et le lien avec les injections d’ARNm COVID-19 – le groupe a fait plus que percer le silence sur le sujet.

Comme lors du débat du 20 octobre, seule une douzaine de députés ont pris la peine d’être présents. Parmi eux, Sir Christoper Chope, Philip Hollobone, Dr Kieran Mullan, Danny Kruger, Wera Hobhouse, Neale Hanvey, Stephen Metcalfe, Andrew Gwynne, Graham Stringer, Sir Peter Bottomley et la sous-secrétaire d’État parlementaire à la santé et aux soins sociaux, Maria Caulfield.

Traduction du Tweet ci-dessus:A Bridgen lance le débat sur la surmortalité au parlement britannique et voilà le nombre de députés qui ont pris la peine de se déplacer.

M. Bridgen, qui a inauguré le débat, a commencé par une déclaration forte:

Nous sommes témoins du plus grand scandale médical de ce pays, de mémoire d’homme et peut-être même de tous les temps ! La surmortalité en 2022 et 2023 est ce scandale. Ses causes sont complexes, mais le traitement médical nouveau et non testé décrit comme un vaccin anti-COVID constitue une grande partie du problème. On m’a traité d’anti-vaxxiste, comme si je rejetais ces vaccins sur la base d’une idéologie. Je tiens à dire clairement et sans équivoque que ce n’est pas le cas. Je suis en fait doublement vacciné et j’ai moi-même souffert des effets secondaires de ces vaccins.

Cacher les données

M. Bridgen, député du North West Leicestershire depuis 2010 a poursuivi en déclarant :

Il n’est pas nécessaire d’avoir une formation scientifique pour être horrifié par le fait que des fonctionnaires cachent délibérément des données clés dans ce scandale, et c’est exactement ce qui se passe, Madame la vice-présidente. Le bureau des statistiques nationales (l’ONS) avait l’habitude de publier des données hebdomadaires sur les décès pour 100 000 habitants dans les populations vaccinées et non vaccinées, mais il ne le fait plus et personne n’explique pourquoi. Le public a le droit d’avoir accès à ces données, Mme la vice-présidente !

Des experts sérieux ont demandé que les données au niveau enregistrement soient rendues anonymes et divulguées à des fins d’analyse, demande que j’ai amplifiée à maintes reprises devant cette Assemblée. Cela permettrait d’analyser de manière significative les décès survenus après la vaccination et de déterminer une fois pour toutes si ces traitements expérimentaux sont responsables de l’augmentation de la surmortalité.

Des données plus complètes et plus détaillées ont déjà été communiquées aux entreprises pharmaceutiques par des organismes financés par des fonds publics. Jenny Harries, directrice de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, a déclaré que « cet agrégat anonyme de décès par statut vaccinal est commercialement sensible et ne devrait pas être publié » – le public est privé de ces données – c’est inacceptable, Madame la vice-présidente. Une fois de plus, des données sont dissimulées en toute impunité, comme dans le cas du scandale des bureaux de poste.

Manipulation des données

M. Bridgen a ensuite expliqué que l’Office des statistiques nationales (ONS) avait récemment modifié sa méthode de calcul de la surmortalité:

Le professeur Harries a également approuvé un important changement récent dans le calcul du niveau de base de la population utilisé par l’ONS pour calculer la surmortalité. Cette formule est incroyablement complexe et opaque et, par pure coïncidence, elle semble maintenant montrer qu’il y a eu une surmortalité massive en 2020 et 2021 et une surmortalité minimale en 2023.

Selon l’ancienne méthode de calcul, éprouvée et utilisée depuis des décennies, le taux de surmortalité en 2023 était de 5 %, un chiffre étonnant étant donné qu’il s’inscrit dans un context post-pandémique et que l’on aurait pu s’attendre à une sous-mortalité en raison du grand nombre de personnes décédées au cours des années précédentes.

20 000 décès prématurés ont ainsi été effacés en 2023 grâce à une nouvelle base de référence normale.

Le changement de calcul controversé de l’ONS est expliqué en détail dans une vidéo du Dr John Campbell.

Les NPR

L’un des grands scandales de la saga de la gestion de la crise Covid a été le fait que d’innombrables d’ordres NPR (Ne Pas Réanimer) ciblant les personnes âgées et celles souffrant de certains handicaps ont été promulgués par des médecins généralistes et des médecins hospitaliers dans tout le Royaume-Uni.

Bridgen explique :

En mars 2020, le gouvernement a mené une consultation sur la question de savoir si les personnes ayant dépassé un certain âge ou souffrant de certains handicaps devraient se voir imposer un ordre de ne pas réanimer, connu sous le nom de NPR.

Un document résumant les propositions a été distribué aux médecins et aux hôpitaux et a été considéré par erreur comme protocole officiel par un certain nombre d’EHPAD et de médecins généralistes dans tout le pays, qui l’ont mise en œuvre au moment où de nombreux hôpitaux ont décrété qu’ils n’admettraient pas les patients avec des NPR parce qu’ils pensaient qu’ils seraient débordés. Résultat : des gens sont décédés inutilement, pendant que les infirmières faisaient des vidéos de danses sur Tik Tok.

L’abandon des protocoles cliniques standard

En réalité, ce qui tue les gens, c’est que certaines personnes, en particulier les plus vulnérables, ont une réponse immunitaire excessive. Les médecins traitent ce problème depuis des décennies à l’aide de stéroïdes et d’antibiotiques pour les infections secondaires par pneumonie et d’autres protocoles normalisés, mais cette fois-ci, bien que le virus ait disparu depuis longtemps, les médecins ont abandonné les protocoles cliniques standard sous prétexte que le COVID était un nouveau virus – ce qui n’est pas le cas. Ils ont renvoyé les patients chez eux, leur ont dit de prendre du paracétamol jusqu’à ce que leurs lèvres deviennent bleues et, lorsqu’ils sont revenus à l’hôpital, ils les ont mis sous sédatifs, sous respirateurs et les ont regardés mourir.

Le « Protocole de la mort » NG163 : midazolam et morphine

Un autre grand scandale de la réponse anti-Covid a été l’introduction du midazolam et de la morphine, dans le cadre du protocole NG163 de NICE.

S’ils [les patients] n’étaient pas aptes à recevoir ce niveau de soins [mise sous respirateur], ils recevaient des médicaments de fin de vie, notamment du midazolam et de la morphine. L’organisme responsable de ce protocole NG163, qui a été publié le 3 avril 2020, s’appelle le National Institute for Health and Care Excellence (NICE).

Donner du midazolam et de la morphine aux personnes mourant d’un cancer est raisonnable, mais il y a un effet secondaire. L’effet secondaire en question est que ces médicaments diminuent les capacités respiratoires. Il est difficile d’imaginer, Madame la Vice-présidente, une chose plus stupide que d’administrer un médicament qui entraîne une insuffisance respiratoire à une personne qui lutte déjà pour respirer et qui présente les symptômes du COVID-19, mais c’est exactement ce que nous avons fait.

La ministre peut-elle expliquer pourquoi le midazolam a ensuite été retiré du même protocole mis à jour, NG191, le 30 novembre 2023 ?

Puisqu’il a été retiré, est-il maintenant considéré et admis que c’était une erreur d’ignorer les avertissements de tant d’experts, y compris sur l’utilisation de ce médicament spécifique, le midazolam, dans la directive NG163, lorsque celle-ci a été introduite ? Les ministres l’ont confirmé dans des lettres adressées aux familles qui ont perdu des êtres chers à cause de ce protocole. Les ministres annoncent que les médecins et les infirmières auraient dû traiter chaque patient en fonction de leurs propres connaissances plutôt que de suivre strictement la directive de NICE NG163. Si des poursuites judiciaires sont engagées pour homicide illégal, le ministre peut-il nous dire qui portera le chapeau ? Est-ce que ce sera le NICE ? Est-ce que ce sera NHS England ou est-ce que ce seront les médecins et les infirmières eux-mêmes qui devront rendre des comptes ?

Il est intéressant de noter, Madame la vice-présidente, que le NICE a maintenant retiré ces protocoles, y compris le NG163, de son site web, alors que tous les autres protocoles utilisés par le passé y figurent toujours à titre de référence historique. La ministre peut-elle nous dire pourquoi le NICE a retiré ce protocole de son site web ? Ont-ils honte du préjudice qu’ils ont causé ? Ils devraient certainement l’être.

En faisant d’autres recherches sur le NG163, je suis tombée sur une lettre de réponse rapide à l’éditeur du BMJ, écrite par le professeur émérite Sam H Ahmedzai, de l’université de Sheffield, et un groupe de consultants en médecine palliative, qui ont soulevé des inquiétudes quant à l’utilisation de la morphine et du midazolam.

Dans leur lettre, ces médecins écrivent:

La NG163 stipule :  » La sédation et l’utilisation d’opioïdes ne doivent pas être refusées par crainte de provoquer une dépression respiratoire. » Si l’infection par COVID-19 était uniformément mortelle, cette déclaration serait acceptable. Mais pour les personnes dont on ne sait pas qu’elles sont en fin de vie, il existe un risque potentiel de dommages graves et involontaires si ces médicaments sont utilisés de manière incorrecte et sans l’avis d’un spécialiste des soins palliatifs.

Ils ont ensuite appelé à une révision de la NG163 sur la base de leurs préoccupations.

Cependant, en tant que consultants en médecine palliative, actuels ou retraités, nous suggérons respectueusement que certaines recommandations de la NG163 soient révisées afin d’éviter d’ajouter par inadvertance à cette souffrance.

La lettre des médecins a été publiée le 19 mai 2020 et le NICE a ignoré leurs avertissements.

Ni « sûr », ni « efficace »

Mais revenons au discours de Bridgen, et à un autre point important soulevé par celui-ci :

Après un test COVID positif, toute maladie et tout décès ont été attribués au virus. Après l’administration du vaccin expérimental d’urgence, aucune maladie qui s’est manifestée par la suite et aucun décès n’ont jamais été attribués au vaccin. Il s’agit là d’approches totalement non scientifiques… parce qu’avec les vaccins contre le Covid, les médias, le gouvernement et les autres instances se sont transformés en service marketing des grandes sociétés pharmaceutiques et il est très difficile aujourd’hui d’entendre le mot « sûr » sans l’écho du mot « efficace »; Or ces vaccins sont loin d’être sûrs et efficaces.

Il a poursuivi en déclarant :

Ces soi-disant vaccins sont les moins efficaces de tous les temps. Quelqu’un a-t-il encore l’illusion qu’ils ont permis d’éviter des infections ? Lorsqu’il s’est présenté à la Dispatch Box pour les questions du Premier ministre le 31 janvier, même le Premier ministre, en réponse à ma question, n’a pas pu se résoudre à ajouter « et efficaces » après « sûrs ». Selon ses propres termes, il a affirmé « sans équivoque » que les vaccins sont « sûrs ». Le mot « sûr » signifie qu’il n’y a pas de risque de mort ni de complications. Pourquoi le Premier ministre passe-t-il sous silence les 163 demandes d’indemnisation pour préjudices causés par un vaccin qui ont été acceptées, pour un montant total de 19,5 millions de livres sterling, en réparation des dommages causés par les vaccins anti covid ? Ces personnes n’ont-elles pas déjà assez souffert sans subir en plus ce gaslighting ? Ces 163 victimes ne sont que la partie émergée de l’iceberg, soit dit en passant. Il convient également de noter que le paiement maximal n’est que de 120 000 livres par cas, de sorte que chacune de ces 163 victimes a reçu le maximum possible, ce qui en dit long. Le même régime d’indemnisation n’a versé au total que 3,5 millions de livres entre 1997 et 2005, avec une moyenne de seulement huit demandes par an, et ce, pour l’ensemble du pays et pour tous les vaccins administrés. Autant pour « sûrs ».

Le député écossais Neale Hanvey (parti Alba) a fait part d’importantes preuves scientifiques publiées sur les effets néfastes des vaccins à ARNm et sur la surmortalité. Il a également fait référence aux conclusions alarmantes du professeur d’oncologie Angus Dalgleish.

Permettez-moi de passer à ce que nous savons de certains problèmes liés à l’ARNm. Nous savons que le vaccin n’agit pas localement, comme on nous l’avait assuré lors de son lancement. Il peut se répandre dans tous les tissus du corps et engendre la réplication de protéines Spike de façon systémique loin du site d’administration. Cela pose problème pour un certain nombre de raisons. Selon le Professeur Angus Dalgleish, professeur d’oncologie de l’université de Londres et directeur de l’Institute for Cancer Vaccines and Immunotherapy, cela a entraîné diverses conséquences graves et parfois mortelles à cause de la production d’anticorps en réaction à la protéine spike. Je n’entrerai pas dans les détails, mais lors d’une réunion organisée par le député du North West Leicestershire, le professeur Dalgleish nous a dit que le gouvernement britannique et ses agences niaient gravement cette question, ce qui fait que de nombreux décès sont mal compris.

Permettez-moi de citer quelques exemples. La thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par les vaccins est l’une des principales causes de formation de caillots sanguins, qui peuvent provoquer des accidents vasculaires cérébraux, des embolies pulmonaires et d’autres événements cardiaques, y compris des crises cardiaques, qui peuvent tous limiter la durée de vie ou être mortels. Un autre anticorps lié à la protéine spike exerce un effet sur la myéline et est associé au syndrome de Guillain-Barré et à la myélite transverse, l’inflammation de la moelle épinière. Le professeur Dalgleish estime qu’il s’agit là d’une négligence médicale, car les faits sont connus de tous. Il affirme que de nombreux décès sont la conséquence directe d’une vaccination inutile. En outre, il signale que la MHRA a reçu un plus grand nombre de cartes jaunes [signalements d’effets indésirables] pour les vaccins anti-Covid que pour tous les autres vaccins, et que personne n’a réagit.

Je vais passer en revue quelques preuves publiées importantes, qui nous ramènent à la discussion sur la corrélation et la causalité. Dans une étude de 2021 portant sur les marqueurs inflammatoires cardiaques chez des patients ayant reçus des vaccins à ARNm, Steven Gundry a observé que la vaccination à ARNm augmentait numériquement les marqueurs « précédemment décrits par d’autres comme dénotant une inflammation de l’endothélium et une infiltration du muscle cardiaque par les cellules T » chez les patients vaccinés. Une étude réalisée en 2022 par Fraiman et al. a noté que le « risque excessif d’événements indésirables graves » identifié dans leur étude soulignait « la nécessité de procéder à des analyses formelles des risques et des bénéfices ». Cette suggestion est parfaitement conforme aux principes énoncés dans la déclaration d’Helsinki et constitue un impératif éthique.

En 2023, une étude en préprint du Lancet menée par Nicolas Hulscher et ses collaborateurs, dont l’éminent cardiologue Peter McCullough et l’épidémiologiste de Yale Harvey Risch, a examiné 325 autopsies qui ont été réalisées sur des personnes décédées après leur vaccination contre le covid. Celle-ci a révélé que 74 % des décès étaient imputables au vaccin. Cette étude, publiée en ligne, a ensuite été rapidement retirée, prétendument pour des questions de rigueur idéologique.

Je me demande si c’est la MHRA qui en a évalué la rigueur. Il est certain que ces données et ces résultats, aussi problématiques qu’aient pu être certaines méthodologies, exigent un examen plus approfondi, et non leur suppression.

Une étude du Lancet Regional Health de décembre 2023, réalisée par Jonathan Pearson-Stuttard et al., a examiné la surmortalité en Angleterre après la pandémie de covid-19 et les implications pour d’autres préventions.

Selon l’étude en question : « De nombreux pays, dont le Royaume-Uni, ont continué à subir un excès apparent de décès longtemps après les pics associés à la pandémie de COVID-19 en 2020 et 2021. Le nombre de décès excédentaires estimés pour cette période est considérable. » Le rapport note que « les tendances générales tendent à être cohérentes entre les différentes méthodes. »

Elle poursuit : « Les causes de cette surmortalité sont probablement multiples… Une analyse plus poussée par cause et par groupe d’âge et de sexe pourrait aider à quantifier les contributions relatives de ces différentes causes. »

Je pose à nouveau la question : ne devrions-nous pas au moins être curieux à ce sujet ?

L’étude se poursuit : « Le plus grand excédent de décès dans la phase aiguë de la pandémie a été enregistré chez les adultes plus âgés. Le schéma actuel est celui d’une surmortalité persistante qui est plus importante en termes relatifs chez les adultes d’âge moyen et les jeunes adultes, les décès dus à des maladies cardiovasculaires et les décès chez soi étant les plus courants. » Il s’agit là d’un tableau clinique complètement différent.

Le rapport ajoute : « Des analyses granulaires et ponctuelles sont nécessaires pour décrire ces tendances et ainsi informer les mesures de prévention et de gestion des maladies. »

Des documents récemment rendus publics dans le cadre d’une action en justice intentée contre la Food and Drug Administration des États-Unis, au titre de la liberté d’information, indiquent que l’agence savait que le système de surveillance de la sécurité du vaccin covid-19 de Pfizer n’était « pas suffisant » pour évaluer les troubles cardiaques associés lorsqu’elle a homologué leur vaccin. Ces documents révèlent également de nombreux problèmes de fabrication des lots de vaccins Pfizer qui ont été administrés au public et montrent que la FDA était au courant d’un phénomène connu sous le nom de « maladie aggravée par la vaccination » chez les personnes vaccinées et infectées par la suite par covid-19.

Enfin, M. Bridgen a conclu le débat par la déclaration suivante:

J’aimerais que ce débat ne soit pas nécessaire ; j’aimerais que les vaccins expérimentaux contre le covid-19 soient sûrs et efficaces, mais ce n’est pas le cas. Plus on persistera à ne pas admettre le problème, plus celui-ci s’aggravera et plus on continuera à causer du mal. Les membres de cette Assemblée peuvent continuer à nier que les vaccins causent des problèmes de santé et des décès, et les médias traditionnels peuvent continuer à censurer tous les témoignages sur les préjudices causés par les vaccins et la surmortalité, mais les gens le savent, en nombre croissant, parce que ce sont eux qui perdent leurs proches et leur famille. Je demande instamment au gouvernement de publier les données de contrôle et de nous permettre de tirer cette affaire au clair une fois pour toutes.

Il convient de noter qu’à la fin du premier discours de M. Bridgen (que l’on peut voir dans la vidéo ci-dessus), des applaudissements et des acclamations assourdissants ont érupté de la galerie réservée au public, qui était bondée. Cela a rapidement incité la vice-présidente de la Chambre (Dame Rosie Winterton) à tenter d’y mettre un terme.

« Non, non, nous ferons évacuer la galerie si les applaudissements continuent ; je l’ordonnerai, si nécessaire », déclare-t-elle avec agacement.

Non, Madame la Vice-présidente, vous ne pourrez jamais ordonner que la clameur cesse, car les citoyens sont de plus en plus nombreux à savoir la vérité.

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