Voici comment les mondialistes prennent des concepts illogiques et les transforment en piliers de notre culture, par exemple, que la santé dépend de la biodiversité planétaire
Un exemple du Programme des Nations unies pour l’environnement. Le plan est conçu pour intégrer l’idée que la santé et la biodiversité sont inextricablement liées, afin de promouvoir l’agenda « One Health » (une seule santé), tel que décrit ci-dessous.
Il est important de bien saisir comment des organisations mondialistes comme l’ONU, l’OMS et le Forum économique mondial se sont emparées de concepts sur lesquels tout le monde s’accorde, comme la nécessité de protéger l’environnement, de prévenir l’extinction des espèces, de manger des aliments sains et d’améliorer nos pratiques agricoles, et les ont détournés pour mettre en place leur propre programme.
En voici un exemple. Il y a quelques années, les mondialistes ont décidé que la « biodiversité » doit être entrelacée de force avec la santé. Par décret, les considérations relatives à la biodiversité devaient être intégrées à l’initiative One Health. Et la Conférence des Parties, au point 1 ci-dessous : « a reconnu l’importance des approches fondées sur les écosystèmes pour l’apport de multiples avantages à la santé et au bien-être de l’homme » Vraiment ?
Ensuite, il fallait trouver un moyen scientifique de relier les deux, et donc établir des indicateurs fondés sur la science. 2. (a)
Ensuite, des « approches de messages ciblés sur l’intégration de la biodiversité dans le secteur de la santé » devaient être développées. 2. (b)
Ensuite, un « plan d’action mondial visant à intégrer les liens entre la biodiversité et la santé dans les politiques, les stratégies, les programmes et les comptes nationaux » devait être rédigé et développé. 2. (c)
Ce document de 35 pages nous indique ce qui a été fait pour atteindre cet objectif. Voici un aperçu de la page 1 :
Un peu plus loin dans l’introduction de ce document, on peut lire ce qui suit :
La section III met en contexte la pertinence des approches One Health, parmi d’autres approches holistiques, et la reconnaissance des liens entre la biodiversité et la santé, à la lumière de la pandémie de COVID-19 et de la nécessité de réduire le risque de futures pandémies zoonotiques. La section IV présente un projet de recommandation à soumettre à l’examen de l’organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques. Le projet de plan d’action mondial visant à intégrer les liens entre la biodiversité et la santé dans les politiques, stratégies, programmes et comptes nationaux figure dans l’annexe ci-dessous.
La toute fin du document nous indique les messages que l’on a voulu faire entrer dans le cerveau de chacun. Certains d’entre eux sont-ils vrais ? Comme je l’explique dans mon dialogue avec James Corbett sur Good Morning CHD (TV) le 8 avril, il est absolument nécessaire que les mondialistes justifient leurs incursions dans nos terres, notre agriculture, notre chasse et notre pêche pour que que les gens restent convaincus que les pandémies émergent des contacts avec la faune et la flore sauvages, et non des laboratoires. De plus, les mondialistes semblent vouloir contrôler notre accès à la nourriture. C’est la raison pour laquelle tant de gens continuent à faire cette affirmation, alors qu’il n’y a aucune preuve à l’appui. Voir les messages à retenir sur la biodiversité à la fin du document, ci-dessous.
COVID-19 et mesures de redressement
(a) La pandémie de COVID-19 a encore mis en lumière l’importance de la relation entre l’homme et la nature. Bien que la relation entre la biodiversité et les maladies infectieuses soit complexe, il est clair que la perte et la dégradation de la biodiversité mine la toile de la vie et augmentent le risque de propagation des maladies de la faune sauvage à l’homme ;
(b) Les plans globaux de redressement post-COVID-19, et en particulier les plans visant à réduire le risque de futures épidémies, doivent aller plus loin en amont que la détection précoce et le contrôle des épidémies, en donnant la priorité aux actions de prévention plutôt qu’aux réactions à des problèmes émergents ;
(c) La biodiversité et les efforts de conservation à tous les niveaux (gènes, espèces et écosystèmes) augmentent la résilience en atténuant les risques de perturbations graves causées par le changement climatique et la propagation des agents pathogènes qui peuvent conduire à des pandémies mondiales;
(d) La réduction des facteurs systémiques et des impacts anthropiques [le terme signifie causé par l’homme, mais les auteurs ne veulent pas que les lecteurs comprennent l’essentiel] aux points chauds des maladies émergentes pourrait réduire le risque de pandémie, protéger la biodiversité et les services des écosystèmes. [Qu’est-ce que « les services des écosystèmes » ?] La pandémie de COVID-19 a mis en évidence les risques sanitaires découlant du coût de l’inaction et de la poursuite de la dégradation et de la perte des écosystèmes;
(e) Le risque de pandémies futures pourrait également être réduit grâce à une approche One Health plus intégrée, intersectorielle et incluant la biodiversité , qui renforce la santé et la résilience des personnes et des écosystèmes, conformément au Programme de développement durable à l’horizon 2030 ;
(f) Il existe de nombreuses possibilités de réponses au COVID-19, y compris des mesures de relance à court terme et des approches à plus long terme pour « mieux reconstruire », contribuer au développement durable et réduire le risque de pandémies futures.
Messages clés de l’atelier sur la biodiversité et les pandémies de la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services des écosystème
(a) Les pandémies émergent de la diversité microbienne présente dans la nature;
(b) Les perturbations écologiques causées par l’homme et la consommation non durable sont à l’origine du risque de pandémie ;
(c) La réduction des changements environnementaux mondiaux d’origine anthropique PEUT réduire le risque de pandémie;
(d) Le changement d’affectation des terres, l’expansion agricole et l’urbanisation sont à l’origine de plus de 30 % des maladies émergentes;
(e) Le commerce et la consommation d’espèces sauvages constituent un risque important à l’échelle mondiale pour les pandémies futures ;
(f) Les stratégies actuelles de préparation aux pandémies visent à lutter contre les maladies après leur apparition. Ces stratégies s’appuient souvent sur la biodiversité et peuvent l’affecter ;
(g) Pour sortir de l’ère des pandémies, il faut des options politiques qui favorisent un changement transformateur en vue de prévenir les pandémies :
(i) Mécanismes de facilitation ;
(ii) Politiques visant à réduire le rôle du changement d’affectation des terres dans l’émergence des pandémies ;
(iii) Politiques visant à réduire l’émergence des pandémies liées au commerce des espèces sauvages;
(iv) Combler les lacunes critiques en matière de connaissances ;
(v) Encourager tous les secteurs de la société à s’engager dans la réduction des risques de pandémies.
Le Forum économique mondial encourage également ces fausses théories et plans d’action.
Le chef du Programme des Nations unies pour l’environnement répète les mêmes discours.
Il en va de même pour l’avunculaire Tony Fauci. Si vous aviez des doutes sur la véracité de ces concepts, j’espère que l’oncle Tony, le parrain de la santé mondiale, les dissipera.
Tony sait que les laboratoires qu’il a financés ont développé le COVID ou des parties du COVID, mais il s’est accroché à l’histoire du chien viverrin pour se protéger et faire avancer l’agenda mondialiste. 6 avril 2023. Vous pouvez regarder la vidéo ici:
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Publié à l’origine sur Meryl’s COVID Newsletter
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