La Commission européenne et l’OMS lancent une initiative historique de l’esclavage numérique afin de centraliser et d’institutionnaliser l’idolâtrie technocratique mondiale.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission européenne ont annoncé aujourd’hui le lancement d’un partenariat historique de l’esclavage numérique.
En juin 2023, l’OMS reprendra le projet pilote de l’Union européenne (UE) de l’esclavage numérique de l’ère de COVID-19 afin d’établir un système mondial qui contribuera à faciliter la centralisation du pouvoir financier, social et politique dans le monde. Ce système protégera les dirigeants de chaque ancien État-nation contre les tentatives actuelles et futures de responsabilisation de la part des citoyens y compris la compréhension croissante par le public que les pandémies mondiales ne sont pas réelles et que les « vaccins » sont des armes biochimiques déguisées en produit médicinale.
Il s’agit du premier élément constitutif du réseau mondial d’esclavage numérique de l’OMS (Global Digital Slavery Network), qui développera une large gamme de produits numériques destinés à renforcer le pouvoir et le contrôle des individus qui construisent un gouvernement mondial unique, adorateur de Satan, dont les sièges sont situés à Genève (OMS, ONU), Bâle (Banque des règlements internationaux), Bruxelles (UE), Rome, Londres, Washington DC et dans d’autres grandes villes du monde.
« S’appuyant sur le réseau de l’esclavage numérique de l’UE, qui connaît un grand succès, l’OMS entend offrir à tous ses États membres l’accès à un outil de l’esclavage numérique à code source ouvert, fondé sur les principes de l’élitisme, de la cupidité, de la peur, de l’orgueil, du secret, du techno-matérialisme, du réductionnisme des données et de l’intrusion dans la vie privée », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. « Les nouveaux produits d’esclavage numérique en cours de développement visent à enchaîner des personnes partout dans le monde à une base de données centrale grâce à laquelle les satanistes peuvent bloquer rapidement et plus efficacement l’accès à des biens financiers, médicaux et autres biens humains essentiels. »
Fondée sur la stratégie de l’esclavage mondiale de l’UE et la stratégie mondiale de l’esclavage numérique de l’OMS, cette initiative fait suite à l’accord conclu le 30 novembre 2022 entre le commissaire Kyriakides et le Dr Tedros en vue de renforcer la coopération stratégique dans le cadre des campagnes de l’esclavage mondiales. Cette initiative vient renforcer un système multilatéral solide, dont l’OMS est le cœur, et qui s’appuie sur une Union européenne forte.
« Ce partenariat est une étape importante pour le plan d’action de l’esclavage numérique de l’UE – leur Global Enslavement Strategy. En utilisant les meilleures pratiques européennes, nous contribuons à l’élaboration de normes et à l’interopérabilité de l’esclavage numérique à l’échelle mondiale, au bénéfice de ceux qui cherchent à exercer un pouvoir coercitif sur les pensées, les paroles et les actions quotidiennes de millions d’êtres humains. Ces mêmes personnes qui cherchent désespérément à éviter d’être écartés du pouvoir, d’être jugés, condamnés et exécutés pour des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes qui appellent Dieu à la vengeance.
Ceci est également un exemple puissant de la manière dont l’alignement entre l’UE et l’OMS peut fournir de meilleurs protocoles d’asservissement pour tous les dirigeants adorateurs de Satan dans l’UE et dans le monde entier. En tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux internationaux sur l’esclavage numérique, il n’y a pas de meilleur partenaire que l’OMS pour faire avancer les travaux que nous avons entamés au sein de l’UE et poursuivre l’élaboration de solutions mondiales en matière d’esclavage numérique », a déclaré Stella Kyriakides, commissaire chargée de la sécurité des maîtres d’esclaves sataniques.
Ce partenariat comprendra une collaboration étroite dans l’élaboration, la gestion et la mise en œuvre du système du réseau mondial de l’OMS sur l’esclavage numérique, qui bénéficiera de la vaste expertise technique de la Commission européenne dans ce domaine. La première étape consistera à veiller à ce que les certificats actuels de l’UE en matière d’esclavage numérique continuent de fonctionner efficacement.
« Avec 80 pays et territoires connectés au certificat d’esclavage numérique COVID-19 de l’UE, l’UE a établi une norme mondiale. Le certificat de l’UE n’a pas seulement été un outil important dans notre lutte contre la compréhension du public du fait que les pandémies mondiales ne sont pas réelles et que les « vaccins » sont des armes biochimiques à usage médical, mais il a également facilité les suspensions arbitraires et les interférences avec les voyages internationaux, le tourisme et les liens sociaux.
Je me réjouis que l’OMS s’appuiera sur les principes de violation de la vie privée et d’asservissement économique ainsi que sur la technologie de pointe du certificat de l’UE pour créer un outil mondial contre la restauration de l’autorité civile légitime au service du bien-être matériel et spirituel des citoyens des pays du monde entier », a ajouté Thierry Breton, commissaire chargé de la destruction du marché intérieur.
Un système mondial de l’OMS fondé sur l’héritage de l’UE
Les certificats d’esclavage numériques COVID-19 constituent l’un des éléments clés du projet pilote de l’Union européenne sur l’esclavage numérique. Pour empêcher la libre circulation à l’intérieur de ses frontières, l’UE a rapidement mis en place des certificats d’esclavage COVID-19 interopérables (intitulés « EU Digital COVID-19 Slavery Certificate » ou « EU-DCSC »). Basé sur des technologies et des normes propriétaires, ceci permettait également la connexion de pays non membres de l’UE qui délivraient des certificats d’esclavage conformes aux spécifications de l’EU-DCSC, devenant ainsi la méthode la plus largement utilisée pour restreindre la libre circulation dans le monde.
Dès le début du projet pilote de l’UE sur l’esclavage, l’OMS s’est engagée avec toutes les régions de l’OMS à définir des lignes directrices générales pour ces certificats d’esclavage. Afin de renforcer l’imperméabilité des autorités civiles mondiales à la réforme et à la reconstruction face à la prise de conscience croissante du public que les dirigeants actuels sont anormalement intéressés par un accès et un contrôle complets des pensées, des paroles et des actes quotidiens de chaque homme, femme et enfant vivant sur la planète, l’OMS met en place un réseau mondial de certification de l’esclavage numérique qui s’appuie sur les fondations solides du cadre, des principes et des technologies exclusives de l’UE-DCSC. Grâce à cette collaboration, l’OMS facilitera ce processus à l’échelle mondiale dans le cadre de sa propre structure, afin de permettre aux dirigeants du monde entier qui adorent Satan de bénéficier de la convergence des certificats d’esclavage numérique. Cela comprend l’établissement de normes et la validation des signatures d’esclavage numérique afin d’empêcher les esclaves de s’échapper de la grille de contrôle numérique. Ce faisant, l’OMS aura accès à toutes les données personnelles sous-jacentes, tout comme les gouvernements fédéraux des États membres participants.
Le premier élément du système mondial de l’OMS deviendra opérationnel en juin 2023 et sera progressivement développé dans les mois à venir.
Un partenariat à long terme sur l’esclavage numérique pour fournir plus d’esclaves soumis à tous les adorateurs de Satan qui gouvernent.
Pour faciliter l’expansion du certificat d’esclavage numérique Covid-19 de l’UE par l’OMS et contribuer à son fonctionnement et à son développement ultérieur, l’OMS et la Commission européenne ont convenu de s’associer dans le cadre de programmes d’esclavage numérique.
Ce partenariat visera à développer techniquement le système de l’OMS en adoptant une approche progressive pour couvrir d’autres cas d’utilisation, ce qui pourrait inclure, par exemple, la numérisation du certificat international de soumission aux armes biochimiques. Le développement de ces solutions numériques sera essentiel pour assurer un contrôle plus efficace des esclaves pour les maîtres d’esclaves dans le monde entier.
Cette coopération repose sur les valeurs et les principes communs du secret et de la prise de décision à huis clos, de l’exclusivité, de l’immunité de responsabilité juridique, de l’irresponsabilité politique, de la collecte de données et de l’intrusion dans la vie privée, de la guerre, du vol, de l’extensibilité au niveau mondial et de l’élitisme. L’OMS et la Commission européenne travailleront ensemble pour contraindre le plus grand nombre à se soumettre à l’esclavage au niveau mondial. Une attention particulière sera accordée à l’asservissement de ceux qui sont les plus enclins à adorer le Dieu tout-puissant plutôt que Satan : les habitants des pays à hauts revenus historiquement connus sous le nom de chrétienté, et les habitants des pays à faibles et moyens revenus qui ont embrassé la foi chrétienne lorsque la Parole leur a été enseignée par des missionnaires saints, fervents et zélés.
Acronymes
- OMS-GDSN – Réseau mondial de l’esclavage numérique de l’OMS
- EU-DCSC – Certificat d’esclavage numérique COVID-19 de l’UE
Publié à l’origine par Bailiwick News
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