Veulent-t-ils toujours plus ?
Les banquiers centraux du G7 se sont réunis à Jackson Hole, dans le Wyoming, le week-end dernier pour discuter des « changements structurels de l’économie mondiale ».
Lors d’une réunion à Jackson Hole en 2019, les banquiers du G7 ont voté sur le ‘Going Direct Reset’, que le Forum économique mondial (WEF) appelle « la Grande Réinitialisation ». Nous savons tous ce qui s’est passé ensuite: il y a eu des « changements structurels dans l’économie mondiale » conçus avec des confinements et d’autres mesures désastreuses, justifiés par des mandats de santé publique. Les banquiers centraux étant sous pression en raison du succès du sommet des nations BRICS en Afrique du Sud au début de cette semaine, et soudain sont mise en place de nouvelles rumeurs de blocages pour l’automne. Cela se produit à un moment où la censure excerce une forte pression et où nous assistons à une manipulation par les médias à travers l’Europe et l’Amérique du Nord.
Qu’ont décidé les banquiers centraux ? Et qu’est-ce que cela signifie dans le contexte de la campagne agressive de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) visant à créer un mécanisme capable de mettre en place un contrôle central et des « changements structurels dans l’économie mondiale » à une échelle sans précédent ?
L’industrie de la pandémie à nouveau en action
L’OMS a annoncé l’évaluation initiale du risque EG.5 le 9 août, indiquant que « sur la base des données disponibles, le risque pour la santé publique posé par EG.5 est jugé faible au niveau mondial, s’alignant sur le risque associé à XBB.1.16 et à d’autres variants d’intérêt (VOI) actuellement en circulation. (…) ». Alors que l’EG.5 a montré une prévalence accrue, une croissance rapide et des propriétés d’échappement immunitaire, il n’y a pas eu de changements signalés dans la sévérité de la maladie jusqu’à présent. Bien que des augmentations concomitantes de la proportion d’hospitalisations liées à EG.5 et à COVID-19 (plus faibles que lors des vagues précédentes) aient été observées dans des pays tels que le Japon et la République de Corée, aucune association n’a été établie entre ces hospitalisations et EG.5. (…) », suivi de détails supplémentaires sur la surveillance des risques liés aux variantes EG.5, BA.2.86 , le 17 août.
Tout cela est apparemment passé inaperçu jusqu’à ce que les médias grand public passent à l’action. Comme à l’accoutumée, ils ont publié des centaines de titres répétant les risques associés à BA.6 et BA.2.86, propageant ainsi le nom d’Eris, la déesse grecque des conflits, de la discorde et du chaos.
NOUVEAU – D’innombrables médias grand public font désormais la promotion d' »Eris », une nouvelle « variante de Covid » nommée par l’OMS d’après la déesse grecque de la discorde et du conflit. (18 août. @Disclose TV)
De manière assez controversée, le dernier bulletin hebdomadaire épidémiologique COVID-19, publié par l’OMS, fait état de certaines incertitudes concernant Eris. On peut se demander si l’OMS n’a pas choisi la mauvaise variante pour semer la panique. Eris génère-t-elle déjà le chaos ou n’a-t-elle pas répondu aux attentes ? Les conditions sont-elles réunies pour augmenter le niveau de surveillance, voire pour lancer un appel d’urgence sur la base d’un niveau de risque non identifié ?
Cependant, aucune donnée actualisée n’est disponible sur Eris, la variante d intérêt accru. Dans l’ensemble, il ne devrait pas être difficile de trouver une variante qui est déjà présente chez la plupart d’entre nous et d’en exagérer la gravité par le biais d’une narration médiatique alignée, pour servir les objectifs de du système, en particulier avec la censure accrue (25 août) par Facebook, YouTube et les 17 autres principales plateformes en ligne.
L’OMS, confortée par son immunité, agissant sans transparence ni délégation de responsabilités, dispose des moyens pour définir les techniques de surveillance à utiliser et de la manière d’interpréter les résultats. Sur la base de sa propre interprétation, l’OMS peut définir le risque associé et les contre-mesures nécessaires pour éliminer ce risque.
Ce schéma n’est que trop familier à ceux qui ont une vision globale et factuelle des événements de ces trois dernières années. Des experts en santé publique expérimentés et indépendants, comme le Dr Wolfgang Wodarg et le Dr David Bell, et des juristes, comme le Dr Silvia Behrendt et Philipp Kruse, LL.M, ont à maintes reprises mis en garde contre la mise en œuvre du cycle de la pandémie sans mécanisme de contrôle et sans surveillance, alors que l’industrie pharmaceutique en est l’un des principaux bénéficiaires.
Bien que les décisions prises par des individus et des institutions au cours des trois dernières années aient eu de profondes répercussions sur la société, dont beaucoup seront probablement négatives, une évaluation appropriée doit encore être menée pour établir les responsabilités et demander des comptes à ces personnes et à ces institutions.
Les annonces de l’OMS et du CDC ont incité les médias à reprendre leurs communications alarmistes en parfaite synchronisation. Indépendamment du manque de preuves substantielles, ils proclament que le dernier nouveau vaccin de rappel « protége tout le monde contre » cette variante et apporte une solution immédiate. (Remarque : il est désormais établi que ces soi-disant « vaccins » n’ont pas fait l’objet de tests d’efficacité pour stopper la contagiosité) Les laboratoires pharmaceutiques Moderna et Pfizer mettront sur le marché les nouveaux vaccins de rappel dans un bon mois (sous réserve de l’approbation des autorités sanitaires compétentes). Ils savent déjà que la tranche d’âge des 60 ans sera au centre de la campagne de vaccination initiale.
La saison de la grippe approche
Après les trois dernières années, on ne s’étonnera pas de l’absence de mention d’éventuels traitements prophylactiques. On ne les trouvera pas non plus dans les médias qui prônent la « tridémie« . Le nouveau discours incite les gens non seulement à reprendre les rappels pour la COVID, mais aussi à se faire vacciner « régulièrement » contre la grippe automnale et le virus respiratoire syncytial (VRS), et ce en même temps.
Comment la Commission européenne, ou la Maison Blanche, pouvait-elles savoir au printemps 2023 que quelques mois plus tard, en octobre, nous aurions à nouveau besoin de vaccins à ARNm c19 ? L’EMA a approuvé à la hâte un vaccin après l’autre avec des fabricants locaux fortement incités au cours du printemps et de l’été. Ces approbations ont été faites sans que les données disponibles, qui démontrent les dommages causés par les vaccins à ARNm, n’aient été correctement examinées. (Voir la longue liste d’analyses du PSUR de l’UE publiée sur le site web de CHD Europe ) Des voix scientifiques indépendantes appellent à un moratoire sur l impact des vaccinations à ARNm en raison des risques connus et inconnus.
Une situation d’urgence ?
Alors qu’une nouvelle pandémie permettrait aux institutions dirigeantes d’éviter de rendre compte de l’impact néfaste de leurs décisions antérieures, elle détournerait également l’attention non seulement des taux de mortalité dramatiquement supérieurs, des échecs de la précédente soi-disant pandémie et des dommages causés par les vaccins, mais aussi de la prise de pouvoir par des institutions telles que l’OMS et l’ONU, qui utilisent la méthodologie avec les éléments de choc mondial récemment rendus publics.
La période de test arrive.