Les médecins prédisent une épidémie de maladies cérébrales à prions
Source : Mercola, Dr. Joseph Mercola, 29 avril 2024
Les grandes lignes :
- Des études de plus en plus nombreuses suggèrent que l’un des effets secondaires graves des injections d’ARNm contre le COVID pourrait être la démence, et que les prions qui en sont la cause pourraient être contagieux
- Le décalage du cadre de lecture, dont nous savons maintenant qu’il se produit dans les injections anti-COVID, peut provoquer la production de prions et conduire à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ)
- Le site web prions.rip de Sid Belzberg, qui recueillait des données sur les effets secondaires neurologiques après la vaccination, a constaté une incidence particulièrement élevée de cas de MCJ diagnostiqués, ce qui suggère une tendance alarmante
- Une série d’articles met en évidence des biais dans les essais cliniques et les études d’observation, suggérant que la sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19 ont été massivement surestimées
- L’étude Global COVID Vaccine Safety Project, financée par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis (CDC), révèle des effets secondaires importants, notamment des myocardites, des péricardites et des caillots sanguins, soulignant la nécessité de réévaluer les risques et les avantages des vaccins COVID
Selon des données de plus en plus nombreuses, l’un des effets secondaires les plus graves des injections d’ARNm COVID semble être la démence et, pire encore, cette maladie auparavant intransmissible pourrait désormais être « contagieuse », c’est-à-dire transmissible par l’intermédiaire des prions.
Dans mon entretien de 2021 avec Stephanie Seneff, Ph.D., elle expliquait pourquoi elle soupçonnait que les vaccins anti-COVID pourraient finalement entraîner une avalanche de maladies neurologiques dues aux prions, telles que la maladie d’Alzheimer. Elle a également publié un article détaillant ces mécanismes dans le numéro du 10 mai 2021 de l’International Journal of Vaccine Theory. Comme elle l’explique dans cet article:
« Un article publié par J. Bart Classen (2021) avançait que la protéine spike contenue dans les vaccins à ARNm pouvait provoquer des maladies de type prion, en partie grâce à sa capacité à se lier à de nombreuses protéines connues et à induire leur mauvais repliement en prions potentiels.
Idrees et Kumar (2021) avançait que le composant S1 de la protéine spike avait tendance à agir comme une amyloïde fonctionnelle et à former des agrégats toxiques … pour finalement conduire à la neurodégénérescence. »
En résumé, l’article de Seneff montrait que les injections contre le COVID, proposées à des centaines de millions de personnes, sont des instructions permettant à l’organisme de fabriquer une protéine toxique qui finira par se concentrer dans la rate, d’où des instructions de protéines de type prion seront envoyées, conduisant à des maladies neurodégénératives.
Que sont les prions ?
Le terme « prion » dérive de « particule infectieuse protéique ». Les prions sont connus pour être à l’origine de diverses maladies neurodégénératives chez les animaux et les humains, telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) chez l’homme, l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB ou « maladie de la vache folle ») chez les bovins et la maladie du dépérissement chronique chez les cerfs et les wapitis.
Ces maladies sont collectivement appelées encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST). Elles se caractérisent par de longues périodes d’incubation, des lésions cérébrales, la formation de trous dans le cerveau qui lui donnent l’aspect d’une éponge, et l’incapacité à induire une réponse inflammatoire.
Les prions infectieux se propagent en transmettant leur état de protéine mal repliée à des variantes normales de la même protéine.
En bref, les prions sont des agents infectieux entièrement composés d’une protéine qui peut se replier de plusieurs façons structurellement distinctes, dont au moins une est transmissible à d’autres protéines prions, entraînant une maladie similaire aux infections virales, mais sans acides nucléiques.
Contrairement aux bactéries, aux virus et aux champignons, qui contiennent des acides nucléiques (ADN ou ARN) qui agencent leur réplication, les prions se propagent en transmettant leur état de protéine mal repliée à des variantes normales de la même protéine.
Selon le modèle de la maladie à prions, les propriétés infectieuses des prions sont dues à la capacité de la protéine anormale à convertir la version normale de la protéine en une forme mal repliée, déclenchant ainsi une réaction en chaîne qui endommage progressivement le système nerveux.
Les prions sont remarquablement résistants aux méthodes conventionnelles de stérilisation et peuvent survivre à des conditions extrêmes qui détruiraient normalement les acides nucléiques ou d’autres agents pathogènes, ce qui explique en partie pourquoi les maladies à prions sont si difficiles à traiter.
De nouvelles preuves que les injections d’ARNm peuvent déclencher la démence
Aujourd’hui, il existe encore plus de preuves à l’appui de la théorie de Dr Seneff. En août 2022, l’entrepreneur Sid Belzberg a publié un article sur prions.rip, un site web qu’il avait créé pour recueillir des données sur les effets secondaires neurologiques des injections (ce site n’existe plus).
En quelques mois, le site a reçu environ 15 000 visites et recueilli 60 témoignages de personnes ayant reçu le « vaccin » et souffrant de déficits neurologiques peu de temps après, dont six cas de MCJ diagnostiqués.
« Normalement, cette maladie touche 1 personne sur 1 000 000″, écrit Belzberg. « Pour obtenir 6 cas, il faudrait 6 000 000 de visites sur le site, en supposant que tous les cas soient notifiés. La probabilité d’obtenir un cas sur 15 000 visites est de 1 sur 66. Pour obtenir 6 cas dans un groupe de 15 000 personnes, c’est 1/66^6 ou 1 chance sur 82 000 000 000, autrement dit 20 fois plus de chances de gagner à la loterie ! …
Je le répète, la MCJ est une maladie exceptionnellement rare qui constitue désormais un effet indésirable grave (EIG) connu et établi du DEATHVAX™. L’injection de cette arme biologique de « mort à petit feu » peut provoquer des maladies qui ont normalement à peu près autant de chances de se produire que d’être frappé deux fois par la foudre. La preuve est désormais irréfutable. »
Le décalage du cadre de lecture peut entraîner la production de prions
À la mi-décembre 2023, des chercheurs ont rapporté (cf articles ici, ici et là), que le remplacement de l’uracile par de la méthylpseudouridine synthétique dans les vaccins anti-COVID – un processus connu sous le nom d’optimisation des codons – peut provoquer un décalage de cadre (frameshifting), soit une faille dans le décodage, qui déclenche ainsi la production de protéines aberrantes hors cible.
Les anticorps qui se développent alors peuvent, à leur tour, déclencher des réactions immunitaires hors cible. Selon les auteurs, des réactions immunitaires cellulaires hors cible se produisent chez 25 à 30 % des personnes vaccinées contre le Covid. Mais ce n’est pas tout.
Selon le Dr Kevin McCairn, neuroscientifique britannique, ce phénomène de décalage de trame a également été associé à la production de prions nocifs – et les prions décalés, en particulier, sont infectieux et peuvent être transmis d’une personne à l’autre. Comme l’indique le Journal of Theoretical Biology de 2013:
Une explication quantitativement cohérente des titres d’infectiosité trouvés dans diverses préparations contenant des prions repose sur le fait que les agents étiologiques de l’encéphalopathie spongiforme transmissible constituent une très petite fraction de la population de variants de la protéine prion (PrP), qui contiennent des éléments décalés de cadre dans leurs régions N-terminales de répétition d’octapeptides…
Le décalage de cadre explique quantitativement l’étiologie de la maladie à prions. Un prion décalé par million pourrait suffire à provoquer la maladie. L’élément similaire au TAR du VIH dans l’ARNm du PRNP est probablement un effecteur du décalage de cadre.
McCairn a expliqué ce mécanisme dans une interview accordée le 19 février 2023 à Health Alliance Australia (vidéo ci-dessus). Il y a noté ce qui suit :
« Les protéines mal repliées causées par les prions peuvent avoir un impact sur tous les organes et tissus du corps […]. Elles se bioaccumulent et résistent à la dégradation, et ainsi se multiplient… »
Les prions pourraient en fait être la principale molécule « excretée » par ceux qui ont reçu l’injection anti-COVID, et si ces prions sont dus à un décalage du cadre de lecture, cela pourrait être très sérieux, compte tenu de leur rôle dans la démence.
Le Dr David Cartland est un autre médecin qui pense que nous serons confrontés à une « épidémie de maladies à prions ». Fin février 2024, il a publié 13 articles scientifiques établissant un lien entre les vaccins COVID, les maladies à prions et la MCJ, en précisant qu’il ne s’agissait que d’une « petite sélection » de ce qui est disponible dans la littérature médicale.
Les prions sont également impliqués dans le COVID long
Selon Dr Kevin McKernan, l’expert en génomique, les prions sont également impliqués dans le COVID long (ou, comme Dr McKernan l’appelle, le « long vax »). Dans une étude réalisée en 2024, 96,7 % des personnes souffrant d’un COVID long avaient reçu le vaccin. Lors d’un entretien avec la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), Dr McKernan a déclaré:
« S’il y a décalage de trame au-dessus des codons-stop, vous allez vous retrouver avec des protéines qui sont des protéines spike-mito. Lorsque je parle à de nombreux patients souffrant de long-vax, j’entends parler de toutes ces choses qui me rappellent l’époque où que je travaillais dans le domaine du séquençage des maladies mitochondriales […] »
McKernan affirme avoir tenté de publier un article sur ce sujet en 2021 avec le Dr Peter McCullough, mais le rédacteur en chef de la revue « est intervenu et a torpillé l’article ».
La plus grande analyse d’effets secondaires au monde a été publiée
Dans le même ordre d’idées, la plus grande étude réalisée à ce jour sur les effets secondaires des vaccins anti-COVID a été publiée dans la revue Vaccine le 12 février 2024, et elle confirme ce que moi-même et de nombreuses autres sources d’information alternatives disons depuis le début, à savoir que les vaccins à ARNm sont les produits médicaux les plus dangereux jamais mis sur le marché.
L’étude – réalisée par le projet Global COVID Vaccine Safety (GCoVS) et financée par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, Public Health Ontario et l’Institut canadien de recherche sur la santé – a évalué le risque d’ « événements indésirables d’intérêt particulier » (EISP ou AESI) à la suite de la « vaccination » anti-COVID-19.
Des données provenant de dix sites dans huit pays (Argentine, Australie, Canada, Danemark, Finlande, France, Nouvelle-Zélande et Écosse) ont été prises en compte, ce qui représente plus de 99 millions de personnes vaccinées.
Parmi les milliers d’effets secondaires répertoriés par Pfizer dans son rapport confidentiel sur les effets indésirables post-autorisation soumis à la Food and Drug Administration (FDA), le GCoVS s’est concentré sur 13 AESI qui se répartissent en trois catégories principales : Les troubles neurologiques, hématologiques (liés au sang) et cardiovasculaires.
Ils ont calculé le risque d’AESI pour chacun des 13 AESI en se basant sur le nombre d’incidents observés par rapport aux incidents attendus (O/E) survenant jusqu’à 42 jours après l’injection. Le nombre « attendu » d’effets secondaires était basé sur les données relatives aux effets indésirables des vaccins entre 2015 et 2019. Ces taux ont ensuite été comparés aux taux d’effets indésirables observés chez les personnes ayant reçu un ou plusieurs des vaccins anti-COVID, soit le BNT162b2 de Pfizer, le mRNA-1273 de Moderna ou le ChAdOx1 d’AstraZeneca.
L’étude la plus importante à ce jour confirme les dangers des injections COVID
L’analyse a révélé plusieurs effets secondaires préoccupants, notamment des risques accrus de myocardite, de péricardite, de caillots sanguins dans le cerveau et de diverses affections neurologiques. Voici un résumé rapide des résultats :
– Myocardite et péricardite :
◦ Vaccin Pfizer – Les ratios O/E pour la myocardite étaient de 2,78 et 2,86 après la première et la deuxième injection, le risque restant doublé après la troisième et la quatrième injection.
◦ vaccin Moderna – Les ratios O/E pour la myocardite étaient de 3,48 et 6,10 après la première et la deuxième injection. Les doses 1 et 4 ont également montré des ratios O/E de 1,74 et 2,64 pour la péricardite.
◦ vaccin AstraZeneca – Le rapport O/E pour la péricardite était de 6,91 après la troisième injection.
– Caillots de sang dans le cerveau (thrombose du sinus veineux cérébral, TVC) :
◦ Un rapport O/E de 3,23 pour la TVC a été observée après la première injection d’AstraZeneca.
◦ Une augmentation significative du risque de TVC a également été observée après la deuxième dose de Pfizer.
– Affections neurologiques :
◦Syndrome de Guillain-Barré – Un rapport O/E de 2,49 a été observé après le vaccin d’AstraZeneca.
◦ Myélite transverse – Le risque a presque doublé avec l’AstraZeneca.
◦ Encéphalomyélite aiguë disséminée – Des rapports O/E de 3,78 (Moderna) et de 2,23 (AstraZeneca) ont été observés.
Ces résultats mettent en pleine lumière le risque d’effets secondaires graves liés aux injections anti-COVID, y compris des affections susceptibles d’entraîner d’autres conséquences à plus long terme, telles que des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des paralysies et des décès.
L’efficacité et l’innocuité ont été largement exagérées lors des essais
Compte tenu de ces résultats, il n’est pas surprenant de constater que l’efficacité et l’innocuité ont été exagérées dans les essais cliniques et les études d’observation. Dans un article publié sur le site Substack du Dr Robert Malone, Raphael Lataster, Ph.D., écrit:
« Une série non officielle de quatre articles d’une importance cruciale, dont deux de ma main, parus dans la grande revue médicale « Journal of Evaluation in Clinical Practice » de la maison d’éditions Wiley, révèle que les affirmations sur l’efficacité et la sécurité des vaccins COVID-19 ont été exagérées, dans les essais cliniques et les études d’observation, ce qui a un impact significatif sur les analyses risques-bénéfices.
Les sujets suivants sont également abordés : la myocardite, sur quoi les éléments scientifiques s’accordent à montrer qu’avec ce seul effet indésirable les risques l’emportent sur les bénéfices chez les jeunes et les personnes en bonne santé ; et l’efficacité négative perçue, qui indique que les vaccins augmentent le risque d’infection, d’hospitalisation et de décès lié au COVID-19, sans parler des autres effets indésirables. »
Résumé des documents
Les quatre documents en question sont les suivants:
1. « Sources of Bias in Observational Studies of COVID-19 Vaccine Effectiveness » publié dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice en mars 2023, cosigné par le rédacteur en chef du BMJ Peter Doshi, le statisticien Kaiser Fung et le biostatisticien Mark Jones, conclue que le « biais de la fenêtre de comptage des cas » avait un effet significatif sur les estimations de l’efficacité.
Comme l’explique Lataster, cela « concerne les 7 jours, 14 jours ou même 21 jours après la « vaccination » où nous sommes censés ignorer les problèmes liés au « vaccin », tels que les infections COVID, pour une raison étrange, comme ‘le vaccin n’a pas eu suffisamment de temps pour stimuler le système immunitaire.’
Cela peut vous sembler bizarre, vu que tous les « complètement vaccinés » doivent passer par le processus de « vaccination partielle », parfois même plus d’une fois. Pour ne rien arranger, les personnes non vaccinées ne bénéficient pas d’un tel « délai de grâce », ce qui signifie qu’il y a également un biais évident en jeu.
Dans un exemple utilisant les données de l’essai clinique de Pfizer, les auteurs montrent que grâce à ce biais, un vaccin ayant une efficacité de 0 %, confirmée dans l’essai clinique hypothétique, pourrait se voir attribuer dans les études d’observation une efficacité de 48 %. »
2. « Reply to Fung et. al. on COVID-19 Vaccine Case-Counting Window Biases Overstating Vaccine Effectiveness« , rédigé par Lataster, explique comment le biais de la fenêtre de comptage affecte non seulement les estimations d’efficacité dans les études d’observation, mais aussi les estimations quant à l’innocuité, ce qui suggère la nécessité de réévaluer la sécurité des vaccins. L’article aborde également « l’augmentation mystérieuse de la surmortalité post-pandémique non liée au COVID ».
3. « How the Case Counting Window Affected Vaccine Efficacy Calculations in Randomized Trials of COVID-19 Vaccines« , également co-écrit par Doshi et Fung, explique aussi en détail comment les problèmes liés à la fenêtre de comptage des cas ont surestimé l’efficacité dans les essais cliniques de Pfizer et de Moderna.
4. Un deuxième article de Lataster, dans lequel il souligne et résume les éléments qui démontrent que les problèmes liés à la fenêtre de comptage des effets indésirables ont conduit à des estimations d’innocuité exagérées.
« Ensemble, ces quatre articles indiquent clairement que les affirmations portant sur l’efficacité et l’innocuité des vaccins anti-COVID-19 ont été exagérées dans les essais cliniques et les études d’observation. Ajoutés à cela des discussion sur la myocardite et l’efficacité négative perçue et il est clair que de nouvelles analyses sont tout à fait nécessaires ».
Ressources pour les personnes affectées par le vaccin anti-Covid
D’après les données recueillies dans le monde entier, il est plus qu’évident que les injections anti-COVID sont les produits pharmaceutiques les plus dangereux jamais utilisés. Si vous avez déjà reçu une ou plusieurs injections contre le COVID et si vous êtes en train de vous remettre en question, il serait sage d’éviter tout vaccin à partir de maintenant, car il faut que vous mettiez fin à cette agression contre votre corps. Même si vous n’avez pas ressenti d’effets secondaires évidents, votre santé peut être affectée à long terme.
Si vous souffrez d’effets secondaires, la première chose à faire est d’éliminer la protéine spike – et/ou toute protéine aberrante hors cible – produite par votre organisme. L’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont deux remèdes qui se lient à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et facilitent son élimination. Je ne sais pas si ces médicaments fonctionneront également sur les protéines non ciblées et l’accumulation de nanolipides, mais cela ne ferait probablement pas de mal d’essayer.
La Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) a mis au point un protocole de traitement post-vaccinal appelé I-RECOVER. Ce protocole étant continuellement mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles données sont disponibles, le mieux est de télécharger la dernière version directement sur le site web de la FLCCC à l’adresse suivante: covid19criticalcare.com.
Pour d’autres suggestions, consultez le guide pour éliminer les protéines spike du World Council for Health. Celui-ci met l’accent sur les substances naturelles telles que les herbes, les suppléments et les thés. Le sauna peut également contribuer à l’élimination des protéines toxiques et mal repliées en stimulant l’autophagie.
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