« Un cauchemar quotidien » : L’ancienne Pussycat Doll toujours en convalescence après une grave réaction au vaccin anti-COVID
Dans une interview accordée à The Defender, Jessica Sutta, ancienne membre du groupe multi-platine The Pussycat Dolls, raconte comment sa vie a basculé et fait part de son parcours de douleur, de confusion, et de plaidoyer après avoir souffert de complications liées au vaccin anti-COVID-19 de Moderna.
« Je me souviens que lorsqu’il m’a injecté le vaccin, j’ai fait une blague parce que je l’ai ressenti dans tout le bras – c’était l’une des sensations les plus intenses et les plus horribles. Je l’ai regardé et je lui ai dit : « Est-ce que je vais me transformer en Hulk ? »
Dans un entretien avec The Defender, Jessica Sutta, ancienne membre du girl-band multi-platine The Pussycat Dolls, s’est souvenue du moment où elle a reçu son premier vaccin Moderna anti-COVID-19 dans une pharmacie CVS en Californie.
Elle ne s’attendait pas à ce que cette décision débouche sur un parcours de douleur et de confusion et sur un rôle de porte-parole pour ceux qui ont subi le même sort.
En août 2021, Sutta a décidé de se faire vacciner contre le COVID-19, convaincue que c’était la meilleure chose à faire pour sa communauté. « J’étais très focalisée sur les médias grand public, croyant tout ce qu’ils nous disaient, croyant toute la propagande », dit-elle.
Trois jours après sa première injection, Jessica s’est réveillée avec un spasme musculaire dans le dos, des difficultés respiratoires et un brouillard cérébral qui lui donnait des vertiges et l’empêchait de penser de manière cohérente.
Elle a passé une journée à l’hôpital, mais le personnel médical n’a pas été en mesure de poser un diagnostic définitif.
Bien qu’elle ait mentionné le vaccin à ses médecins, ceux-ci ne croyaient pas qu’il était la cause de ses symptômes. « Ils m’ont renvoyée chez moi avec des antibiotiques », raconte-t-elle.
« Pendant au moins un mois, je n’ai pas su qu’il s’agissait d’une lésion due à un vaccin. Je pensais que c’était une sclérose en plaques. »
« J’avais l’impression de mourir »
Malgré ses premiers symptômes, Jessica Sutta a reçu sa deuxième dose de vaccin trois semaines plus tard. « Et c’est ça qui m’a complètement foutue en l’air », dit-elle.
La deuxième injection a marqué le début d’une cascade de symptômes, notamment une vision double, une sensation de brûlure dans la cage thoracique, une fatigue musculaire, une sensibilité cutanée et des douleurs articulaires. « C’était un véritable cauchemar », se souvient-elle.
Le parcours de Jessica Sutta dans le système médical a été une expérience frustrante et décourageante. Elle avait beaucoup de mal à trouver des réponses à l’aggravation de son état, et les médecins ne perdaient pas de temps à écarter ses inquiétudes.
En mai 2022, elle s’est à nouveau rendue à l’hôpital en raison des sensations de brûlure insupportables qu’elle ressentait. « Cela se propageait dans toute ma cage thoracique et se promenait de haut en bas le long de ma colonne vertébrale ». « Je ne pouvais pas dormir. J’avais l’impression de mourir. »
Malgré ses appels à l’aide, le personnel médical l’a traitée avec scepticisme et rejet. « Ils ont fait tous ces tests, n’ont rien trouvé, et n’ont cessé de me dire que j’étais en bonne santé, que j’étais folle », raconte-t-elle. Je les suppliais : « S’il vous plaît, faites cesser cette douleur ! »
Et le personnel médical de répondre : « Quelle douleur ? Nous ne la voyons pas. »
« Nous sommes en guerre »
J. Sutta a fini par trouver un neurologue qui, après avoir pris connaissance de ses symptômes, lui a demandé si elle avait été vaccinée.
« Je lui ai demandé si nous étions nombreux, se souvient-elle. « Eh bien, vous êtes une cinquantaine », a-t-il répondu.
Cependant, lorsqu’elle l’a consulté plus tard, il s’est tu et n’a pas voulu en parler – « comme si ses paroles étaient enregistrées », dit-elle.
Le personnel médical de l’hôpital a non seulement ignoré les symptômes physiques de Jessica Sutta, mais a également commencé à s’interroger sur sa santé mentale.
« Ils m’ont mis sous traitement psychiatrique parce qu’ils disaient que j’inventais tout », se souvient-elle. Les médicaments n’ont fait qu’exacerber ses symptômes déjà débilitants.
Finalement, on lui a diagnostiqué une neuropathie des petites fibres et une fibromyalgie.
L’expérience de l’hôpital a été un tournant pour Jessica, car elle s’est rendu compte du manque de conscience et de compassion des professionnels de la santé.
« C’est à ce moment-là que j’ai compris », se souvient-elle. « J’ai regardé mon mari et je lui ai dit : « Nous sommes en guerre. Ces gens ne peuvent pas voir ce qui se passe dans mon corps et tout le monde fait du gaslighting. »
« En tant qu’américaine, c’était une pilule amère à avaler »
L’expérience de Jessica Sutta avec le corps médical l’a laissée seule et désespérément en quête de réponses.
« Je me sens tellement isolée, surtout ici », dit-elle en parlant de sa communauté à Los Angeles. « Ils ne veulent rien avoir à faire avec vous si vous n’êtes pas d’accord avec la doxa. »
« Dans ma vie personnelle, j’ai perdu beaucoup d’amis. »
Peu à peu, J. Sutta a commencé à partager son histoire avec des amis proches, dont l’un lui a proposé de regarder une vidéo de témoignages de victimes des vaccins. C’était comme si un millier de femmes disaient « Cher Pfizer » et énuméraient leurs effets indésirables qui étaient très similaires aux miens », raconte-t-elle.
La vidéo l’a tellement bouleversée qu’elle n’a même pas pu la regarder jusqu’au bout. « En tant qu’américaine typique, qui croyait en l’esprit communautaire, la pilule était amère à avaler. »
« C’est à ce moment-là que la colère a vraiment pris le dessus », dit-elle, lorsqu’elle s’est rendu compte des mensonges qui avaient été dits sur les vaccins et de la façon dont la société tournait le dos aux personnes dont la santé a été affectée par les vaccins.
Malgré cette réalisation, le fait d’entrer en contact avec d’autres personnes ayant souffert d’effets secondaires similaires a donné à Jessica un sentiment de validation et de soutien.
« J’ai plongé dans le terrier du lapin »
Le tournant s’est produit lorsque Jessica a découvert React19, une organisation à but non lucratif qui se consacre au soutien des personnes souffrant de complications dues aux vaccins.
« J’ai découvert React19 lors d’une table ronde au Sénat avec les docteurs Robert Malone et Peter McCullough – tous ces gens merveilleux – et Brianne Dressen », raconte-t-elle et je me suis dit : « Oh mon Dieu, je ne suis pas seule ».
Elle a commencé à approfondir ses recherches et à s’informer auprès de ceux qui s’expriment sur les effets secondaires des vaccins. « C’est alors que j’ai plongé dans les livres de Bobby Kennedy – ‘The Real Anthony Fauci‘ – et tout le reste », dit-elle. « J’ai plongé dans le terrier du lapin. »
Avec le soutien de React19 et d’un nouveau réseau de médecins et de chercheurs, J. Sutta a commencé à explorer divers traitements et thérapies pour traiter ses symptômes persistants. Cependant, le chemin de la guérison n’a pas été sans difficultés.
« J’ai trouvé un médecin qui a fait tous les traitements – perfusions de vitamines, glutathion, peptides, bleu de méthylène, ozone – mais mon corps a tout rejeté », dit-elle.
Le temps et une bonne alimentation ont considérablement amélioré son état, « mais la connexion à Dieu est la plus importante, car tout le reste n’a pas fonctionné. »
« Vous ne pouvez pas leur permettre de gagner »
L’abandon du ressentiment et le pardon sont des éléments importants de la pratique quotidienne de Jessica Sutta. « Ne plus avoir de ressentiment est primordial », dit-elle, « parce que si vous vivez dans cette colère, vous ne faites qu’alimenter votre maladie, en causant plus de stress à votre corps. »
« Je pense que c’est l’occasion de découvrir qui vous êtes vraiment à l’intérieur », a-t-elle ajouté, soulignant qu’elle avait trouvé sa force dans la lutte. « Je sais que cela peut paraître fou, mais je pense qu’il y a un aspect psychologique à cette guerre que vous ne pouvez pas leur permettre de gagner ».
Jessica a évoqué la tendance des gens qui souffrent à mettre fin à leurs jours et les suicides médicalement assistés qui sont « encouragés dans de nombreux endroits. »
« Je comprends pourquoi les gens veulent mourir », a-t-elle déclaré. « C’est une des principales raisons pour lesquelles il ne faut pas les laisser gagner. »
Elle a également souligné l’importance d’avoir un système de soutien solide, en évoquant particulier son mari. « Le fait qu’il m’ait soutenue tout au long de cette épreuve a été l’élément le plus important », a-t-elle déclaré. « J’ai beaucoup de chance d’avoir quelqu’un d’aussi éveillé. »
« La vie est trop courte et vous ne devriez vous entourer que de personnes qui vous aiment vraiment, qui croient en vous et qui ont vos intérêts à cœur », a-t-elle ajouté.
« Je ne renoncerai jamais »
Malgré les difficultés personnelles et l’impact potentiel sur sa carrière, Jessica Sutta s’est sentie obligée de parler de son expérience négative du vaccin. « Je n’avais pas le choix », a-t-elle déclaré. « Il fallait que je revienne et que j’en parle. »
Elle est consciente des risques liés à la divulgation de son expérience dans un secteur qui favorise largement le discours officiel sur les vaccins, mais elle s’efforce de faire adopter une loi en Californie pour aider les personnes affectées par les vaccins.
« Il n’y a pas eu beaucoup de changements dans la législation ou dans l’adoption de projets de loi qui aideraient les personnes ayant subi un préjudice dû aux vaccins », a-t-elle déclaré. « Nous devons aider ces jeunes adultes atteints de cancers, de maladies auto-immunes et de handicaps. »
Elle estime que de faire prendre conscience aux gens de ces problèmes, l’emporte sur les réactions négatives potentielles et souligne l’importance de « porter cette conversation au grand public pour permettre aux gens de voir la vérité des effets indésirables en temps réel. »
Toutefois, elle comprend que ces révélations choqueront de nombreuses personnes.
« Lorsque les gens se rendront compte de la gravité de la situation et du nombre de personnes concernées, ce ne sera pas une bonne chose pour la société », a-t-elle déclaré. « Les gens vont éprouver du chagrin et de la colère, puis se sentir vraiment mal de ne pas avoir agi plus tôt. »
Grâce à son travail d’activiste, Jessica Sutta soutient et encourage d’autres victimes des vaccins. « Votre voix compte. Vous êtes dignes de vos sentiments », dit-elle. « Je sympathise complètement et je vous comprends profondément. Je n’abandonnerai jamais le combat. »
Elle a également insisté sur la nécessité d’intensifier la recherche, la reconnaissance et le soutien aux victimes des vaccins.
« Nous devons nous battre et persévérer, car les gens vont se réveiller. Et cela ne durera pas éternellement, car nous sommes trop nombreux. »
« Nous vaincrons, il ne faut pas baisser les bras »
Tout en continuant sur la voie de la guérison et sa mission de sensibilisation, Jessica a réfléchi aux profonds changements qu’elle a éprouvé sur le plan personnel et professionnel. « Je ne me reconnais même pas en tant que Pussycat Doll », admet-elle. « Je ne peux même pas m’imaginer refaire cela. »
Au lieu de cela, Jessica est attirée par une vie plus simple, centrée sur sa famille et vouée à aider les autres. « Je vis mon rêve en ce moment », dit-elle. « Je veux juste être une mère. J’aime mon fils. J’aime mes chiens. »
Elle a également déclaré qu’elle adorait travailler avec React19 et son rôle en tant que directrice créative de l’organisation. « Nous avons des évenements amusants en préparation pour célébrer la vie. »
Se tournant vers l’avenir, Jessica a souligné l’importance de l’amour, de la compassion et de l’unité face à l’adversité.
« Nous devons nous aimer les uns les autres. Nous devons nous réveiller et voir qu’ils veulent nous monter les uns contre les autres », a-t-elle déclaré. « Nous devons aller au-delà de nos égoïsmes et nous entraider pour traverser cette crise humanitaire. »
Elle reste pleine d’espoir et déterminée à faire la différence. « Nous gagnerons, il ne faut pas abandonner », dit-elle. « Ce n’est pas un choix. Nous devons nous battre et persévérer. »
Les lecteurs peuvent contacter Jessica Sutta sur X (anciennement connu sous le nom de Twitter) et Instagram.
The Defender publie parfois du contenu lié à la mission à but non lucratif de Children’s Health Defense qui présente les points de vue de Robert F. Kennedy Jr. sur les questions que CHD et The Defender couvrent régulièrement. Conformément aux règles de la Commission électorale fédérale, ce contenu ne représente pas un soutien à M. Kennedy, qui est en congé de CHD et se présente comme candidat indépendant à la présidence des États-Unis.
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