L'avocate Renate Holzeisen a intenté une action en justice au nom de professionnels de la santé italiens qui luttent contre l'ordonnance de vaccination obligatoire récemment adoptée en Italie. L'action vise à annuler les autorisations conditionnelles de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l'UE pour les vaccins de Johnson & Johnson (Janssen).
Bien que les plaignants dans cette affaire soient des professionnels de santé italiens, tout Européen victime de pressions exercées par son employeur pour qu'il se fasse vacciner avec ces injections expérimentales peut participer à cette action en justice en tant qu'intervenant. L'affaire n'est donc pas limitée aux seuls
professionnels de santé. Les personnes travaillant dans les secteurs du transport, du tourisme et de la restauration sont invitées à participer en tant qu'intervenants, de même que les enseignants, les artistes et toute autre personne subissant des pressions de la part de son employeur pour se faire vacciner. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n'est pas partie au procès en cours mais qui s'y associe en se joignant au plaignant ou en s'unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.
La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d'être tenus financièrement responsables en cas de perte
du procès.
Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d'identité et une preuve d'inscription dans leur profession à l'avocat coordinateur de leur pays - pour la France à maître Virginie De Araujo-Recchia (cliquer ici pour lui écrire) - qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.
Pour plus d'informations, veuillez lire l'article en cliquant ici. Les formulaires de demande sont disponibles en anglais, allemand, français, italien et grecque. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui n'est pas encore disponible sur le site CHD Europe, veuillez nous contacter.
Les principaux arguments en faveur de cette action sont :
1. Les "vaccins" Covid ne sont pas des vaccins mais des produits expérimentaux consistant en des thérapies géniques.
2. La pression pour "vacciner" sur la base de la "protection contre l'infection ou la transmission" ne peut pas s'appliquer puisque les "vaccins" n'ont reçu aucune autorisation sur cette base et que les fabricants n'ont pas fourni de données pour étayer cette affirmation.
3. Les produits expérimentaux ne peuvent recevoir une autorisation conditionnelle d'urgence que s'il n'existe pas d'autres traitements avec les médicaments disponibles. Le Covid peut être traité avec plusieurs médicaments qui ont démontré un long profil de sécurité (Ivermectin, antibiotiques, etc.).
4. Les tests PCR utilisés pour invoquer une situation d'urgence de pandémie ne sont pas fiables.
Vous pouvez lire le texte intégral de l'action en justice ici et regarder l'interview de Mme Holzeisen ici.